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La montée de l’insécurité n’est plus à démonter à Pikine où règne une terreur de nuits qui plonge la population dans une terreur sans fin. Entre le commerce du chanvre indien, la prostitution clandestine et les agressions, l’hécatombe qui contamine cette partie du faubourg de Sor est impressionnante.
Hier nuit, une bande s’est introduite dans une alimentation sise à Pikine Gouy Mbargou(photo), en faisant sauter le cadenas. Toutes les caisses ( pour l'alimentation et le transfert d'argent) ont été vidées.
Les habits du gérant qui assistait à des chants religieux, ont été emportés. Abasourdi par la furtivité de l’attaque, l’homme se planque devant son commerce, le regard hagard.
« Ils ont emporté toutes les cartes de rechargement de crédit ainsi que l’ordinateur qui faisait les transactions Wari », dit-il, enveloppé dans le drap du désarroi. C’est le film habituel qui tend à se répéter quotidiennement devant le refus implicite des autorités d’installer un poste de police à Pikine.
Hier nuit, une bande s’est introduite dans une alimentation sise à Pikine Gouy Mbargou(photo), en faisant sauter le cadenas. Toutes les caisses ( pour l'alimentation et le transfert d'argent) ont été vidées.
Les habits du gérant qui assistait à des chants religieux, ont été emportés. Abasourdi par la furtivité de l’attaque, l’homme se planque devant son commerce, le regard hagard.
« Ils ont emporté toutes les cartes de rechargement de crédit ainsi que l’ordinateur qui faisait les transactions Wari », dit-il, enveloppé dans le drap du désarroi. C’est le film habituel qui tend à se répéter quotidiennement devant le refus implicite des autorités d’installer un poste de police à Pikine.
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