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Des étudiants africains inventent un savon contre le paludisme.

Mardi 23 Avril 2013

Le projet innovant de deux étudiants burkinabé et burundais a été primé par l'université de Berkeley en Californie; Les deux chercheurs ont mis au point le "Fasoap", un savon qui permet de lutter contre le paludisme en éloignant les moustiques et en tuant leurs larves.


Des étudiants africains inventent un savon contre le paludisme.
Il s'appelle le Fasoap et pourrait bien sauver un nombre incalculable le de vie. Le burkinabé Moctar Dembélé et le burundais Gérard Niyondiko sont tous deux étudiants au Burkina Faso. Tous deux viennent d'être récompensés pour leurs travaux par l'université de Berkeley en Californie lors de la Global Social Venture Competition.


Ils ont en effet, après des recherches à l'Institut international de l'ingénierie de l'eau et de l'environnement de Ouagadougou mis au point un savon révolutionnaire. Composé à partir d'ingrédients locaux, tels que la citronnelle et le karité (ils ne tiennent pas à révéler la liste complète de ces composants) le savon à la particularité de repousser les moustiques et de tuer les larves, empêchant ainsi la prolifération du plasmodium.Ce parasite, véhiculé par les moustiques est la cause du paludisme chez l'être humain.

Un savon à 46 centimes d'euros
Le savon, présente l'avantage d'être peu onéreux et donc accessible au plus grand nombre, de ne pas présenter d'effets secondaires, contrairement aux comprimés préventifs et rappelle Moctar Demblélé dans sa présentation, "il ne nécessite pas de modification des habitudes".

Les deux étudiants, premiers Africains à être ainsi récompensés par l'Université californienne souhaitent, une fois les tests complémentaires terminés, monter leur entreprise et commercialiser le Fasoap au prix de 300 francs CFA, soit 46 centimes d'euros.


la1ere.fr



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1.Posté par Fall le 24/04/2013 12:55 | Alerter
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Félicitations. Au moins des africains qui pensent au bien-être et au devenir de leurs populations. Loin très loin des prédateurs comme Bongo, Wade, Sassou Nguesso, etc. Loin très loin de nos enseignants éternels grévistes et mercenaires dans les écoles privées. Loin très loin des sénégalais simplement...

2.Posté par rahne le 26/04/2013 20:49 | Alerter
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ils meme trés loin de tous nos soit-disants intellectuels qui ne croient plus à la recherche.depuis la disparition du PROFESSEUR CHEIKH ANTA DIOP ..Loption de le facilité cest la recherche fondamentale au détriment de la recherche appliquée.Faites un tour à l'ISRA ou à l'ITA vous vous rendrez compte que la recherche est délaissée ;au SENEGAL on ne fait que consommer des produits qui nous viennent de l'étranger.Méme du riz on préfére limporter alors que nous avons la possibilité de le produire

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