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En images : un condamné à mort iranien gracié par la mère de sa victime

Vendredi 18 Avril 2014

Un condamné à mort pour meurtre a échappé de justesse à la pendaison, mardi, en Iran. Il a été sauvé in extremis par la mère de sa victime, qui lui a accordé le pardon. Retour en images sur cette scène surréaliste.


L'histoire, relatée par le quotidien iranien "Shargh", pourrait inspirer plus d'un réalisateur de cinéma. Balal, un Iranien âgé de 26 ans, a échappé à la mort, alors qu'il devait être pendu en public, mardi 15 avril à Noshahr (nord). Il a été gracié par la mère de sa victime, qui lui a accordé son pardon après l'avoir giflé.

Il a été gracié par la mère de la victime, Samereh, comme le permet la loi islamique. "Le meurtrier pleurait, a-t-elle raconté. Il m'a demandé pardon. Je l'ai giflé, ce qui m'a calmée. J'ai dit : 'Je te punis pour le malheur que tu m'as fait'".  © AFP
Il a été gracié par la mère de la victime, Samereh, comme le permet la loi islamique. "Le meurtrier pleurait, a-t-elle raconté. Il m'a demandé pardon. Je l'ai giflé, ce qui m'a calmée. J'ai dit : 'Je te punis pour le malheur que tu m'as fait'". © AFP

Les gens ont applaudi, certains pleuraient. "Tout le monde, ma famille et mes amis, faisait pression pour que j'accorde mon pardon", a-t-elle expliqué au journal local "Shargh".  © AFP
Les gens ont applaudi, certains pleuraient. "Tout le monde, ma famille et mes amis, faisait pression pour que j'accorde mon pardon", a-t-elle expliqué au journal local "Shargh". © AFP

Les yeux bandés, Balal, un Iranien de 26 ans condamné à mort pour avoir tué un jeune en 2007 d'un coup de couteau, a échappé à la pendaison, mardi 15 avril à Noshahr (nord).  © AFP  Il a été gracié par la mère de la victime, Samereh, comme le permet la loi islamique. "Le meurtrier pleurait, a-t-elle raconté. Il m'a demandé pardon. Je l'ai giflé, ce qui m'a calmée. J'ai dit : 'Je te punis pour le malheur que tu m'as fait'".  © AFP  Les gens ont applaudi, certains pleuraient. "Tout le monde, ma famille et mes amis, faisait pression pour que j'accorde mon pardon", a-t-elle expliqué au journal local "Shargh".  © AFP  La mère s'est ensuite adressée à la foule pour expliquer qu'il était "difficile d'avoir une maison vide" d'enfants. © AFP  La grâce de Balal intervient également après une campagne de mobilisation de ses proches, dont sa mère (au centre), mais aussi d'artistes et de sportifs connus, comme l'ancien footballeur international Ali Daie.  © AFP  Selon la loi islamique, un condamné à mort pour meurtre peut échapper à l'exécution et purger une peine de prison s'il est pardonné par la famille de la victime, qui reçoit le "prix du sang" fixé cette année à 36 000 euros.  © AFP  "Dommage que personne ne m'ait giflé" au moment de porter le coup, a pour sa part affirmé Balal, au quotidien iranien.  © AFP  Les yeux bandés, Balal, un Iranien de 26 ans condamné à mort pour avoir tué un jeune en 2007 d'un coup de couteau, a échappé à la pendaison, mardi 15 avril à Noshahr (nord).  © AFP Previous Next
Les yeux bandés, Balal, un Iranien de 26 ans condamné à mort pour avoir tué un jeune en 2007 d'un coup de couteau, a échappé à la pendaison, mardi 15 avril à Noshahr (nord). © AFP Il a été gracié par la mère de la victime, Samereh, comme le permet la loi islamique. "Le meurtrier pleurait, a-t-elle raconté. Il m'a demandé pardon. Je l'ai giflé, ce qui m'a calmée. J'ai dit : 'Je te punis pour le malheur que tu m'as fait'". © AFP Les gens ont applaudi, certains pleuraient. "Tout le monde, ma famille et mes amis, faisait pression pour que j'accorde mon pardon", a-t-elle expliqué au journal local "Shargh". © AFP La mère s'est ensuite adressée à la foule pour expliquer qu'il était "difficile d'avoir une maison vide" d'enfants. © AFP La grâce de Balal intervient également après une campagne de mobilisation de ses proches, dont sa mère (au centre), mais aussi d'artistes et de sportifs connus, comme l'ancien footballeur international Ali Daie. © AFP Selon la loi islamique, un condamné à mort pour meurtre peut échapper à l'exécution et purger une peine de prison s'il est pardonné par la famille de la victime, qui reçoit le "prix du sang" fixé cette année à 36 000 euros. © AFP "Dommage que personne ne m'ait giflé" au moment de porter le coup, a pour sa part affirmé Balal, au quotidien iranien. © AFP Les yeux bandés, Balal, un Iranien de 26 ans condamné à mort pour avoir tué un jeune en 2007 d'un coup de couteau, a échappé à la pendaison, mardi 15 avril à Noshahr (nord). © AFP Previous Next

La grâce de Balal intervient également après une campagne de mobilisation de ses proches, dont sa mère (au centre), mais aussi d'artistes et de sportifs connus, comme l'ancien footballeur international Ali Daie.  © AFP
La grâce de Balal intervient également après une campagne de mobilisation de ses proches, dont sa mère (au centre), mais aussi d'artistes et de sportifs connus, comme l'ancien footballeur international Ali Daie. © AFP
Texte par FRANCE 24


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