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Des membres du Collectif
La colère des conseillers municipaux, dignitaires religieux et coutumiers regroupés au sein du collectif « Aar momelu Gandiol » semble arriver à son paroxysme. Très en colère contre le maire Arouna SOW et le sous-préfet de Rao, Ibrahima NDAO, ils ont tenu une mobilisation sociale, dimanche, sur la place publique de Tassinère pour dénoncer la spoliation des terres du Gandiolais et des présumés détournements de deniers publics qu’ils accusent au maire d’avoir commis depuis son avènement à la tête de la magistrature locale.
Cette rencontre avec les populations, organisée au cœur de la localité, vise à « sensibiliser l’opinion sur le fonctionnement nébuleux et scandaleux de la Commune », renseigne Tidjane DIA, conseiller municipal.
« Le Maire analphabète et « dealer » et le Sous-préfet de Rao avaliseur de l’illégalité se sont donné la main pour violer les délibérations du conseil municipal. Le cas Ascor Afrique est révélateur d’une volonté manifeste du Sous-préfet de ramer à contre-courant des décisions du conseil municipal », dénoncent-ils, dans un communiqué livré à la presse.
En invitant les autorités « à prendre leurs responsabilités avant que l’irréparable ne se produise à Ndiébène Gandiol », le collectif décide de passer à la vitesse supérieure si des mesures ne sont pas prises pour éclaircir des «affaires nébuleuses » qu’il dénonce.
> Toutes les revendications et dénonciations du Collectif en vidéo. Regardez !
Cette rencontre avec les populations, organisée au cœur de la localité, vise à « sensibiliser l’opinion sur le fonctionnement nébuleux et scandaleux de la Commune », renseigne Tidjane DIA, conseiller municipal.
« Le Maire analphabète et « dealer » et le Sous-préfet de Rao avaliseur de l’illégalité se sont donné la main pour violer les délibérations du conseil municipal. Le cas Ascor Afrique est révélateur d’une volonté manifeste du Sous-préfet de ramer à contre-courant des décisions du conseil municipal », dénoncent-ils, dans un communiqué livré à la presse.
En invitant les autorités « à prendre leurs responsabilités avant que l’irréparable ne se produise à Ndiébène Gandiol », le collectif décide de passer à la vitesse supérieure si des mesures ne sont pas prises pour éclaircir des «affaires nébuleuses » qu’il dénonce.
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