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La formation implantée au sein de l’UFR des Civilisations Religions Arts et Communication (UFR CRAC), produira des managers d’entreprises culturelles et artistiques, des financeurs du secteur de la culture, des gestionnaires de projet culturel, des conseillers artistiques et médiateurs culturels, des promoteurs de spectacles, des producteurs, éditeurs, etc.
En offrant la possibilité aux étudiants et professionnels africains des métiers de la culture de se former à l’UGB, l’Université d’Alexandrie délocalise son campus à Sanar et matérialise, par ailleurs, sa volonté de raffermir ses liens avec l’Université de Saint-Louis.
Le professeur Albert LOURDE, recteur de cette institution universitaire a exprimé ses « grandes émotions » en prenant part à la cérémonie de lancement du Master GIC. Il a rendu de vibrants hommages au Professeur Lamine NDIAYE, recteur honoraire de l’UGB pour « son action et sa médiation » qui, dit-il, ont permis de donner naissance à ce master. « Merci d’avoir lancé cette idée et de lavoir porte a son terme », a témoigné M. LOURDE.
Il a indiqué, en outre, que la préservation des identités culturelles africaines, la lutte contre « l’acculturation mortelle » et la promotion du développement devront passer par la création et la bonne gestion des industries culturelles fortes et propres aux Africains. La mise en orbite de ce master est la matérialisation de la prise en compte de cette exigence par les deux entités, note l’ancien professeur de droit à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar.
En magnifiant la disponibilité de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui, en plus de soutenir financièrement ce projet, met 12 bouses en compétition, M. LOURDE livre ses espoirs quant à la bonne marche du nouveau programme pédagogique. « Nous sommes certains que ce master connaitra un grand succès », a-t-il soutenu.
Des projections positives renforcées par les assurances du Docteur Youma FALL, représentante de l’OIF. Pour elle, son organisation se veut une sentinelle de la diversité culturelle et de ses moyens de promotion. D’où son apport considérable au profit du bon déroulement de ce projet.
Le Professeur Baydallaye KANE, recteur de l’Université Gaston Berger soutient que ce master est « parfaite adéquation avec les orientations fondamentales de notre projet pédagogique ». « Cette formation va favoriser la création de filières qui permettent de lieux gérer les industries culturelles », a expliqué le recteur KANE. Poursuivant, il a réitéré l’engagement de l’UGB à faire en sorte que cette offre pédagogique nouvelle soit une « une filière qui brille et qui produise ses diplômes de qualité ».
Il faut rappeler qu’à travers l’ouverture de ce master en Gestion des Industries culturelles l’UGB se positionne comme un pôle d’excellence en matière de formation de cadres supérieurs spécialisés dans les questions culturelles.
NDARINFO.COM
En offrant la possibilité aux étudiants et professionnels africains des métiers de la culture de se former à l’UGB, l’Université d’Alexandrie délocalise son campus à Sanar et matérialise, par ailleurs, sa volonté de raffermir ses liens avec l’Université de Saint-Louis.
Le professeur Albert LOURDE, recteur de cette institution universitaire a exprimé ses « grandes émotions » en prenant part à la cérémonie de lancement du Master GIC. Il a rendu de vibrants hommages au Professeur Lamine NDIAYE, recteur honoraire de l’UGB pour « son action et sa médiation » qui, dit-il, ont permis de donner naissance à ce master. « Merci d’avoir lancé cette idée et de lavoir porte a son terme », a témoigné M. LOURDE.
Il a indiqué, en outre, que la préservation des identités culturelles africaines, la lutte contre « l’acculturation mortelle » et la promotion du développement devront passer par la création et la bonne gestion des industries culturelles fortes et propres aux Africains. La mise en orbite de ce master est la matérialisation de la prise en compte de cette exigence par les deux entités, note l’ancien professeur de droit à l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar.
En magnifiant la disponibilité de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui, en plus de soutenir financièrement ce projet, met 12 bouses en compétition, M. LOURDE livre ses espoirs quant à la bonne marche du nouveau programme pédagogique. « Nous sommes certains que ce master connaitra un grand succès », a-t-il soutenu.
Des projections positives renforcées par les assurances du Docteur Youma FALL, représentante de l’OIF. Pour elle, son organisation se veut une sentinelle de la diversité culturelle et de ses moyens de promotion. D’où son apport considérable au profit du bon déroulement de ce projet.
Le Professeur Baydallaye KANE, recteur de l’Université Gaston Berger soutient que ce master est « parfaite adéquation avec les orientations fondamentales de notre projet pédagogique ». « Cette formation va favoriser la création de filières qui permettent de lieux gérer les industries culturelles », a expliqué le recteur KANE. Poursuivant, il a réitéré l’engagement de l’UGB à faire en sorte que cette offre pédagogique nouvelle soit une « une filière qui brille et qui produise ses diplômes de qualité ».
Il faut rappeler qu’à travers l’ouverture de ce master en Gestion des Industries culturelles l’UGB se positionne comme un pôle d’excellence en matière de formation de cadres supérieurs spécialisés dans les questions culturelles.
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