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Masseck NGOM, président de la commission des Œuvres sociales du personnel du CROUS
Le président de la commission des Œuvres sociales du personnel du CROUS, a fustigé mercredi l’incinération de la loi-cadre sur les universités publiques par la section Saint-Louis du Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (SAES) sur l’esplanade Léopold Sédar Senghor de l’Université Gaston Berger, estimant que ce geste est « indigne d’un intellectuel », « irresponsable » et « vilain ».
« On ne peut pas comprendre qu’un intellectuel puisse avoir l’audace de bruler une loi votée à l’Assemblée nationale au sein d’une université et devant ses étudiants », a déclaré Masseck NOM.
« C’est irresponsable », a-t-il dit ce matin, en indiquant que « la meilleure manière de combattre ces une reforme, c’est d’aller sur la table des concertations et de défendre ses idées ».
« Qu’ils acceptent de discuter avec le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Mary Teuw NIANE qui est un professeur comme eux. Il ne faut pas créer des hostilités dans les universités pour régler des intérêts crypto personnels », a ajouté M. NGOM, membre du bureau exécutif du Syndicat des travailleurs de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis (SYNTUS).
En invitant ses collègues syndicalistes du supérieur à se ressaisir, il a attesté que « depuis son installation, le ministre Mary Teuw NIANE cherche à résoudre les problèmes des universités à travers des reformes qui, pour le moment, sont mal comprises ».
« Tous les acteurs doivent unir leur force pour garantir la réussite des projets qui ne seront que bénéfiques pour nos l’université », a noté ce membre de l’intersyndical des travailleurs du supérieur.
NDARINFO.COM
« On ne peut pas comprendre qu’un intellectuel puisse avoir l’audace de bruler une loi votée à l’Assemblée nationale au sein d’une université et devant ses étudiants », a déclaré Masseck NOM.
« C’est irresponsable », a-t-il dit ce matin, en indiquant que « la meilleure manière de combattre ces une reforme, c’est d’aller sur la table des concertations et de défendre ses idées ».
« Qu’ils acceptent de discuter avec le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Mary Teuw NIANE qui est un professeur comme eux. Il ne faut pas créer des hostilités dans les universités pour régler des intérêts crypto personnels », a ajouté M. NGOM, membre du bureau exécutif du Syndicat des travailleurs de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis (SYNTUS).
En invitant ses collègues syndicalistes du supérieur à se ressaisir, il a attesté que « depuis son installation, le ministre Mary Teuw NIANE cherche à résoudre les problèmes des universités à travers des reformes qui, pour le moment, sont mal comprises ».
« Tous les acteurs doivent unir leur force pour garantir la réussite des projets qui ne seront que bénéfiques pour nos l’université », a noté ce membre de l’intersyndical des travailleurs du supérieur.
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