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L’UJTL demande à la CREI d’ouvrir une enquête sur la maison de Macky Sall à Houston (Communiqué)

Jeudi 15 Mai 2014

L’UJTL demande à la CREI d’ouvrir une enquête sur la maison de Macky Sall à Houston

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Chasser le naturel et il revient toujours au galop dit l’adage. Depuis son accession à la magistrature suprême, Macky SALL pense que la justice devrait être son bras armé, pour détruire toute personne qui ne partage pas sa politique. Son incompétence et son incurie notoire, doublées de sa rancune, et sa méchanceté reconnues de tous, risquent d’hypothéquer la stabilité sociale qui faisait le charme de notre chère République.
En effet, comme nous le savons tous, l’accueil triomphal dont a bénéficié Maitre WADEpartout où il est passé, a fini d’installer la panique au plus haut sommet de l’Etat. En lieu et place de décoder le message des populations en détresse, et qui ont déjà regretté de l’avoir porté à la tête de la magistrature suprême, Macky se bunkerise et envoie ses ouailles au front, pour nous servir des un débat infect et des inepties qui sont leur marque de fabrique. Les fous du roi SALL, traumatisés par ce vent de fin de règne qui a déjà commencé à souffler dans leur royaume, se sont encore tristement distingués. A la place d’une réponse politique cohérente aux interpellations de l’opposition, ils brandissent la « loi EZZAN » dont le maître d’œuvre est Macky SALL himself, premier ministre d’alors.C’est lui-même, alors qui avait fait porter la loi à EZZAN, et avait organisé de nombreuses réunions nocturnes pour la faire passer. L’UJTL n’accorde aucune importance à ce faux débat, car tous les responsables du PDS injustement cités dans cette affaire, ont été blanchis par la justice.Cependant, parmi les deux pistes qui étaient exploitées à l’époque sur l’affaire maitre SEYE, une seule est restée sans suite, c’est celle qui nous mène vers le parti socialiste.
Ces « bénis oui oui » ont agi par manque d’expérience et par excès de zèle, leur déclaration inopportune ne nous ébranle aucunement, et ne fait que renforcer notre détermination à combattre le régime pourri de Macky SALL, qui a fait de l’injustice et du mensonge d’Etat son modèle de gouvernance.
En outre, l’UJTL tient à signaler aux ignorants de l’Apr, que le « statut d’ancien chef d’Etat » dont bénéficie Maitre WADE, ne découle aucunement de la volonté de Macky. La loi prévoit que les anciens chefs d’Etat soient mis dans des conditions de vie convenable. Pourtant, fidèle à sa posture d’hors-la-loi, Macky avait refusé de signer le décret qui offre ce statut à WADE, il a fallu une forte pression exercée par des chefs d’Etat en exercice comme Ali Bongo ODIMBA, Alassane Dramane OUTARRA etc. afin que Macky, à contre cœur, mette à la disposition du Président WADE, une vieille Mercédès sans bon d’essence, un personnel très en deçà du nombre avancé par les vautours du régime, et un salaire qu’il a bloqué pendant plus de huit mois. Certainement, que ces avantages ébranlent ceux qui n’ont jamais connu l’opulence, ou même un certain niveau de vie mais surement pas Maitre Abdoulaye WADE, qui a aidé des milliers de personne dans sa vie dont Macky SALL lui-même.WADE n’est ni omnibulé par l’argent, encore moins par un personnel pour ses services, car, chaque jour que Dieu fait, des milliers de citoyens lui proposent des services gratuits.
Par ailleurs, afin de consolider le principe de transparence et de bonne gouvernance, l’UJTLdemande à la CREI de nous édifier sur l’appartement de 300m2, acheté en 2002 par Macky dans la plus grande ville du Texas qu’est Houston. Ce bijou a couté 235.000 $ (117.939.000 FCFA) selon les autorités américaines, et non 220.000 $ (109.000.000. FCFA) déclarés par Macky. Il est à rappeler par ailleurs, que de Mai 2001 à Novembre 2002, il était ministre des mines, de l’énergie et de l’hydraulique, et Novembre 2002 à Aout 2003, ministre d’Etat, ministre des mines, de l’énergie et de l’hydraulique. Quand il achetait cet appartement, il était ministre de la République, et pourtant son salaire ne dépassait pas 2 millions, d’où provient donc cet argent ?
Moralement cette personne est très mal placée pour parler d’enrichissement illicite ou de crier à tout va « au voleur ». Il s’est manifestement enrichi de façon illicite, nous le traquerons et le trainerons devant les juridictions compétentes lorsqu’il quittera la présidence de la République. Bientôt, une pétition sera lancée pour qu’il fasse une vraie déclaration de patrimoine avec une déclaration sur l’honneur, car, les 8 milliards déclarés ne représentent même pas le tiers de ses biens.
Pour terminer, l’UJTL tient à rassurer nos compatriotes, la communauté internationale, ainsi que les représentations diplomatiques et consulaires que le président Abdoulaye WADE est un patriote et un homme de paix. La preuve, face à la furie du peuple qui voulait marcher sur le palais après la confiscation de ses deux éclatantes victoires en 88 et 93, il déclara urbi orbi, qu’il ne marchera jamais sur des cadavres pour accéder au palais. Maitre WADEest venu répondre à l’appel de détresse de ses compatriotes, qui veulent la restauration de l’Etat de droit, et la conservation de nos acquis démocratiques.C’est Macky qui cherche à enflammer le pays à travers l’instrumentalisation de la justice, tant et si bien que l’UJTLdemande solennellement aux dignitaires religieux de le rappeler à l’ordre avant qu’il ne soit trop tard.


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1.Posté par Ide Niass le 15/05/2014 12:52
Le vernis populaire dont la presse à couvert le retour d’un ancien Président au bercail suite à la mise en scène de ce dernier a véritablement donné à un évènement ordinaire une dimension surréaliste qui n’a pas fini de balloter les âmes intègres et puristes entre fiction et réalité. Les questions qui taraudent l’esprit sont celles-ci : dans quel pays sommes-nous ? Quels sont ces Sénégalais qui sont partis accueillir celui-là même qui n’a pas sourcillé pour mettre son pays sens dessus dessous pour imposer son fils, celui-là qui a demandé à son Peuple de retourner aux bougies faute d’électricité, celui-là qui a laissé le kilogramme de riz à 400 frs alors qu’il avait promis 100 frs, oui ce champion de mille et une promesses non tenues ?
Non, on ne peut pas y croire, le monde s’effondre en terre sénégalaise. Notre pays est-il en passe de devenir un cocktail de paradoxes, un creuset d’énigmes, un contre-modèle de cohérence où le mythe l’emporte sur la raison ?
Certains Sénégalais sont-ils devenus amnésiques au point d’oublier de sitôt dans quel état le Président Wade a laissé le pays, pour qu’en l’espace de deux ans seulement, ils puissent lui pardonner ce mépris et cette condescendance de sa famille pour le Peuple ? Mon fils est le plus intelligent des Sénégalais déclarait-il au cours d’un entretien.
Sommes-nous amnésiques pour oublier de sitôt la gabegie, les détournements et les scandales financiers d’alors dont le règlement judiciaire aujourd’hui constitue pour l’essentiel ce qu’il convient d’appeler la traque des biens mal acquis ?
Sommes-nous amnésiques ou apatrides pour passer par pertes et profits le bradage du foncier, la spoliation du patrimoine national mobilier et immobilier, la corruption d’Etat ?
Sommes-nous amnésiques ou insouciants pour oublier la désacralisation des institutions de la République, l’impunité et l’arrogance érigées en règles de gouvernance, l’instrumentalisation des confréries, des religions, les agressions et crimes sans suite judiciaire, toutes choses qui ont failli hypothéquer la cohésion sociale et l’unité nationale ?
Sommes-nous amnésiques ou pas sérieux du tout pour passer par pertes et profits les coupures d’électricité et leur cortège d’émeutes et de victimes, le lourd tribut payé alors par l’économie nationale ?
Sommes-nous amnésiques pour oublier les hausses intempestives (mensuelles voire hebdomadaires) du prix des denrées de première nécessité, du carburant ? Quid de la dégradation continue de tous les comptes extérieurs, de la gestion informelle de l’Etat, avec des ponctions ou des dépassements budgétaires ou l’usage abusif de décrets d’avance ?
Pourtant, tout Sénégalais sincère et objectif sait que sur l’ensemble de ces brûlots, le régime en place a pris des mesures idoines perceptibles de redressement de trajectoires.
Non, Maître Wade nous a laissé un pays économiquement et financièrement au bord du gouffre, une République dépouillée de ses valeurs, une société en déliquescence avec la perte de tous ses repères. C’est pour cela que des patriotes lucides et convaincus ont décidé de payer un lourd tribut dont lui et ses affidés devraient rendre compte, pour mettre un terme à ses projets diaboliques de vassalisation de tout un Peuple. Cependant, le pays était déjà dans un état si calamiteux de sinistre généralisé dont lui-même en était conscient pour l’avoir exploité cyniquement à son compte, en se faisant l’illusion messianique d’être le seul à mesure de sortir les Sénégalais du gouffre et il disait à tout le monde, c’est moi ou personne. Après moi, il n’y aura plus de salaires, disait-il. N’était-ce pas là un aveu de taille et une raison de plus pour son successeur de faire l’état des lieux et d’autoriser des investigations et une inculpation ?
Non, chers compatriotes ! Arrêtons la farce et fermons définitivement la page Wade qu’il faut considérer comme une parenthèse de l’histoire du Sénégal, même si l’on peut retenir à son compte quelques réalisations au plan des infrastructures. A ce niveau d’ ailleurs, il importe de relativiser pour dire que n’importe quel Sénégalais, qui serait aux commandes du pays à cette étape de l’histoire de notre pays, n’aurait pas fait moins que lui au regard du coût de celles-ci, mais surtout de la donne mondiale actuelle. Concernant surtout les infrastructures scolaires, elles obéissaient à une nouvelle orientation de l’Aide publique au développement et à une exigence d’une initiative mondiale en faveur de l’Education (Ept Jomtien 1990 et Dakar 2000). Concernant les infrastructures routières, la Banque mondiale avait fini de ficeler les projets d’autoroute à péage et du renouvellement du parc automobile avec le gouvernement précédent, et le reste relève du financement controversé de l’Oci. En termes de bilan de Maître Wade, tout a été conçu par les partenaires techniques et financiers et exécuté en grande partie par leurs ressources que le contribuable sénégalais de Fongolimbi ou Saraya aura à payer au même titre que le citoyen Dakarois. Le maître d’œuvre de tous ces chantiers étant l’actuel Président, tout laisse à croire donc, qu’avec un projet plus ambitieux qu’est le Pse, avec le même ouvrier, le Sénégal devra connaître des lendemains meilleurs.
Chers compatriotes, nostalgiques de bienfaits indus et illicites, c’est à cela que nous devons tous nous employer, la réussite du Pse plutôt que de se river à un rétroviseur pâle ou de s’accrocher au manteau d’un vieillard finissant, titubant, au regard absent. Ayons pitié de lui et qu’il comprenne également qu’il a fait son histoire et qu’il doit laisser les autres faire la leur.
L’heure est grave pour notre pays, la situation géopolitique et économique ne milite point en faveur de surenchères politiciennes. Nous devons tous nous ceindre les reins pour nous mettre au travail et combattre les tares de notre société, particulièrement dans ses lourdes tendances qui sont en passe de la désagréger en «sociétés parasitaires» qui veulent toujours la transformer en société de la parole et du verbe et non de l’action, en société de la danse et des loisirs et non du culte des valeurs et du travail, en société qui subit l’histoire au lieu de la faire.

2.Posté par Ide Niass le 15/05/2014 12:53
Le vernis populaire dont la presse à couvert le retour d’un ancien Président au bercail suite à la mise en scène de ce dernier a véritablement donné à un évènement ordinaire une dimension surréaliste qui n’a pas fini de balloter les âmes intègres et puristes entre fiction et réalité. Les questions qui taraudent l’esprit sont celles-ci : dans quel pays sommes-nous ? Quels sont ces Sénégalais qui sont partis accueillir celui-là même qui n’a pas sourcillé pour mettre son pays sens dessus dessous pour imposer son fils, celui-là qui a demandé à son Peuple de retourner aux bougies faute d’électricité, celui-là qui a laissé le kilogramme de riz à 400 frs alors qu’il avait promis 100 frs, oui ce champion de mille et une promesses non tenues ?
Non, on ne peut pas y croire, le monde s’effondre en terre sénégalaise. Notre pays est-il en passe de devenir un cocktail de paradoxes, un creuset d’énigmes, un contre-modèle de cohérence où le mythe l’emporte sur la raison ?
Certains Sénégalais sont-ils devenus amnésiques au point d’oublier de sitôt dans quel état le Président Wade a laissé le pays, pour qu’en l’espace de deux ans seulement, ils puissent lui pardonner ce mépris et cette condescendance de sa famille pour le Peuple ? Mon fils est le plus intelligent des Sénégalais déclarait-il au cours d’un entretien.
Sommes-nous amnésiques pour oublier de sitôt la gabegie, les détournements et les scandales financiers d’alors dont le règlement judiciaire aujourd’hui constitue pour l’essentiel ce qu’il convient d’appeler la traque des biens mal acquis ?
Sommes-nous amnésiques ou apatrides pour passer par pertes et profits le bradage du foncier, la spoliation du patrimoine national mobilier et immobilier, la corruption d’Etat ?
Sommes-nous amnésiques ou insouciants pour oublier la désacralisation des institutions de la République, l’impunité et l’arrogance érigées en règles de gouvernance, l’instrumentalisation des confréries, des religions, les agressions et crimes sans suite judiciaire, toutes choses qui ont failli hypothéquer la cohésion sociale et l’unité nationale ?
Sommes-nous amnésiques ou pas sérieux du tout pour passer par pertes et profits les coupures d’électricité et leur cortège d’émeutes et de victimes, le lourd tribut payé alors par l’économie nationale ?
Sommes-nous amnésiques pour oublier les hausses intempestives (mensuelles voire hebdomadaires) du prix des denrées de première nécessité, du carburant ? Quid de la dégradation continue de tous les comptes extérieurs, de la gestion informelle de l’Etat, avec des ponctions ou des dépassements budgétaires ou l’usage abusif de décrets d’avance ?
Pourtant, tout Sénégalais sincère et objectif sait que sur l’ensemble de ces brûlots, le régime en place a pris des mesures idoines perceptibles de redressement de trajectoires.
Non, Maître Wade nous a laissé un pays économiquement et financièrement au bord du gouffre, une République dépouillée de ses valeurs, une société en déliquescence avec la perte de tous ses repères. C’est pour cela que des patriotes lucides et convaincus ont décidé de payer un lourd tribut dont lui et ses affidés devraient rendre compte, pour mettre un terme à ses projets diaboliques de vassalisation de tout un Peuple. Cependant, le pays était déjà dans un état si calamiteux de sinistre généralisé dont lui-même en était conscient pour l’avoir exploité cyniquement à son compte, en se faisant l’illusion messianique d’être le seul à mesure de sortir les Sénégalais du gouffre et il disait à tout le monde, c’est moi ou personne. Après moi, il n’y aura plus de salaires, disait-il. N’était-ce pas là un aveu de taille et une raison de plus pour son successeur de faire l’état des lieux et d’autoriser des investigations et une inculpation ?
Non, chers compatriotes ! Arrêtons la farce et fermons définitivement la page Wade qu’il faut considérer comme une parenthèse de l’histoire du Sénégal, même si l’on peut retenir à son compte quelques réalisations au plan des infrastructures. A ce niveau d’ ailleurs, il importe de relativiser pour dire que n’importe quel Sénégalais, qui serait aux commandes du pays à cette étape de l’histoire de notre pays, n’aurait pas fait moins que lui au regard du coût de celles-ci, mais surtout de la donne mondiale actuelle. Concernant surtout les infrastructures scolaires, elles obéissaient à une nouvelle orientation de l’Aide publique au développement et à une exigence d’une initiative mondiale en faveur de l’Education (Ept Jomtien 1990 et Dakar 2000). Concernant les infrastructures routières, la Banque mondiale avait fini de ficeler les projets d’autoroute à péage et du renouvellement du parc automobile avec le gouvernement précédent, et le reste relève du financement controversé de l’Oci. En termes de bilan de Maître Wade, tout a été conçu par les partenaires techniques et financiers et exécuté en grande partie par leurs ressources que le contribuable sénégalais de Fongolimbi ou Saraya aura à payer au même titre que le citoyen Dakarois. Le maître d’œuvre de tous ces chantiers étant l’actuel Président, tout laisse à croire donc, qu’avec un projet plus ambitieux qu’est le Pse, avec le même ouvrier, le Sénégal devra connaître des lendemains meilleurs.
Chers compatriotes, nostalgiques de bienfaits indus et illicites, c’est à cela que nous devons tous nous employer, la réussite du Pse plutôt que de se river à un rétroviseur pâle ou de s’accrocher au manteau d’un vieillard finissant, titubant, au regard absent. Ayons pitié de lui et qu’il comprenne également qu’il a fait son histoire et qu’il doit laisser les autres faire la leur.
L’heure est grave pour notre pays, la situation géopolitique et économique ne milite point en faveur de surenchères politiciennes. Nous devons tous nous ceindre les reins pour nous mettre au travail et combattre les tares de notre société, particulièrement dans ses lourdes tendances qui sont en passe de la désagréger en «sociétés parasitaires» qui veulent toujours la transformer en société de la parole et du verbe et non de l’action, en société de la danse et des loisirs et non du culte des valeurs et du travail, en société qui subit l’histoire au lieu de la faire.

3.Posté par Julien Duroy le 15/05/2014 22:00
Bravo Monsieur! Vous êtes conscient des réalités. Ce que vous dîtes est la vérité.

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