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La marche de section départementale du Front pour la Défense du Senegaal (FDS) n’aura pas lieue. Déposée sur la table du Préfet Mariama Traore NGOM, elle sera rejetée, plongeant ainsi les membres de la coalition dans une vive colère.
Dans sa lettre adressée au coordonnateur de Manko, le 11 mai, le Préfet déclare, ceci « après examen de votre correspondance, votre déclaration est irrecevable en raison du fait que vous n’avez pas respecté les règles de forme de designer trois signataires et d’indiquer de façon précise leurs prénom(s), nom(s) et domiciles, conformément au dispositions de l’article 96 du code pénal ».
Pour le docteur Abdoulaye NDOYE, cette interdiction est «une décision politique » qui repose des « raisons fallacieuses ». Il soutient que le Préfet pouvait leur inviter à corriger, au besoin, avant de notifier la restriction avant la marche.
Mieux, il signale, s’appuyant sur des éléments juridiques que marche doit être simplement déclarée et n’obéit à aucune forme d’autorisation de la part de l’administration territoriale. Dès lors, Manko annonce la déposition d’une autre notification de marche, en indiquant que cette fois, elle n’abdiquera pas.
L’opposition qui se réunissait avec ses militants au point de départ de sa marche, fustige une « administration 12e Gaindé » et regrette « des signes de reculs démocratiques à Saint-Louis », en évoquant le cas des jeunes du Mouvement And Dolele Khalifa SALL, récemment arrêtés au cours d’une procession dans des artères de Saint-Louis.
> Suivez les réactions du Docteur Abdoulaye NDOYE et de Vieux GAYE
Dans sa lettre adressée au coordonnateur de Manko, le 11 mai, le Préfet déclare, ceci « après examen de votre correspondance, votre déclaration est irrecevable en raison du fait que vous n’avez pas respecté les règles de forme de designer trois signataires et d’indiquer de façon précise leurs prénom(s), nom(s) et domiciles, conformément au dispositions de l’article 96 du code pénal ».
Pour le docteur Abdoulaye NDOYE, cette interdiction est «une décision politique » qui repose des « raisons fallacieuses ». Il soutient que le Préfet pouvait leur inviter à corriger, au besoin, avant de notifier la restriction avant la marche.
Mieux, il signale, s’appuyant sur des éléments juridiques que marche doit être simplement déclarée et n’obéit à aucune forme d’autorisation de la part de l’administration territoriale. Dès lors, Manko annonce la déposition d’une autre notification de marche, en indiquant que cette fois, elle n’abdiquera pas.
L’opposition qui se réunissait avec ses militants au point de départ de sa marche, fustige une « administration 12e Gaindé » et regrette « des signes de reculs démocratiques à Saint-Louis », en évoquant le cas des jeunes du Mouvement And Dolele Khalifa SALL, récemment arrêtés au cours d’une procession dans des artères de Saint-Louis.
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