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Le professeur Balaly SALL, coordonnateur du Carrefour d’Études et de Recherches-Action pour la Démocratie et le Développement (Ceradd)
Pour son troisième numéro, les Rencontres politiques de NDAR (Rpn) se sont penchées ce matin sur le thème « Religions, Politique et démocratie » avec une approche pluridisciplinaire et la participation d’obédiences confessionnelles diverses.
Le professeur Balaly SALL, coordonnateur du Carrefour d’Études et de Recherches-Action pour la Démocratie et le Développement (Ceradd), structure organisatrice de ces échanges, avec le soutient de la Fondation Rosa-Luxembourg et l’Université Gaston Berger, a insisté sur la nécessité de bâtir une conjonction pertinente entre la laïcité, principe politique hérité de la colonisation et le foisonnement religieux qui caractérise le Sénégal.
« La laïcité a son histoire. Elle nous est venue d’ailleurs, mais nous avons notre proprette réalité », a expliqué le professeur SALL, rappelant que le Sénégal est « une société fortement confrérique ». « Un système fortement teinté de pratiques religieuses », dira-t-il.
Pour Babaly SALL, ce système spécifique garantit « un équilibre harmonieux entre la religion et la politique », mais, précise que « cela ne signifie pas que dans les faits, qu’il n’y a pas quelques problèmes et appréhensions ».
Les forces et faiblesses de ce dispositif politique propre à la Nation sénégalaise ont été analysées au cours d’un débat regroupant des profils différents et expériences variées de la pratique politique.
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Le professeur Balaly SALL, coordonnateur du Carrefour d’Études et de Recherches-Action pour la Démocratie et le Développement (Ceradd), structure organisatrice de ces échanges, avec le soutient de la Fondation Rosa-Luxembourg et l’Université Gaston Berger, a insisté sur la nécessité de bâtir une conjonction pertinente entre la laïcité, principe politique hérité de la colonisation et le foisonnement religieux qui caractérise le Sénégal.
« La laïcité a son histoire. Elle nous est venue d’ailleurs, mais nous avons notre proprette réalité », a expliqué le professeur SALL, rappelant que le Sénégal est « une société fortement confrérique ». « Un système fortement teinté de pratiques religieuses », dira-t-il.
Pour Babaly SALL, ce système spécifique garantit « un équilibre harmonieux entre la religion et la politique », mais, précise que « cela ne signifie pas que dans les faits, qu’il n’y a pas quelques problèmes et appréhensions ».
Les forces et faiblesses de ce dispositif politique propre à la Nation sénégalaise ont été analysées au cours d’un débat regroupant des profils différents et expériences variées de la pratique politique.
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