Le ministre sénégalais de la Pêche et des Affaires maritimes, Pape Diouf a affirmé, mercredi à Saint-Louis, que "les conditions sont favorables", pour une résolution définitive des problèmes liés aux licences de pêche avec la Mauritanie.
"Il y a beaucoup de problèmes, mais il y a des possibilités et les conditions sont favorables", a répondu M. Diouf, interpelé sur le problème des licences de pêche avec la Mauritanie, au cours d’une visite. Il a précisé que les négociations avec Nouakchott vont démarrer "dans quelques jours".
M. Diouf a souligné son espoir de voir ce problème résolu et magnifié la décision de l’Etat mauritanien de proroger de trois mois les licences de pêche octroyées aux pêcheurs guet-ndariens.
"Il faut encourager cela pour que ça continue. Il n’y a pas de difficultés insurmontables, il faut simplement qu’on y aille dans l’esprit de respecter nos engagements vis-à-vis de la partie mauritanienne", a ajouté le ministre sénégalais.
Selon lui, "nos parents pêcheurs doivent aider les autorités à mieux discuter et négocier avec la Mauritanie. Il faut qu’ils respectent les lois parce que nous sommes deux Etats souverains".
"Ils ont leur loi et nous avons les nôtres. Pour faciliter les choses, il faut qu’on respecte de part et d’autre les accords que nous avons signés", a-t-il expliqué.
"Il y a beaucoup de problèmes, mais il y a des possibilités et les conditions sont favorables", a répondu M. Diouf, interpelé sur le problème des licences de pêche avec la Mauritanie, au cours d’une visite. Il a précisé que les négociations avec Nouakchott vont démarrer "dans quelques jours".
M. Diouf a souligné son espoir de voir ce problème résolu et magnifié la décision de l’Etat mauritanien de proroger de trois mois les licences de pêche octroyées aux pêcheurs guet-ndariens.
"Il faut encourager cela pour que ça continue. Il n’y a pas de difficultés insurmontables, il faut simplement qu’on y aille dans l’esprit de respecter nos engagements vis-à-vis de la partie mauritanienne", a ajouté le ministre sénégalais.
Selon lui, "nos parents pêcheurs doivent aider les autorités à mieux discuter et négocier avec la Mauritanie. Il faut qu’ils respectent les lois parce que nous sommes deux Etats souverains".
"Ils ont leur loi et nous avons les nôtres. Pour faciliter les choses, il faut qu’on respecte de part et d’autre les accords que nous avons signés", a-t-il expliqué.