La région médicale de Saint-Louis a reçu ce jeudi de l’ONG américaine Countrepart un lot de 5000 suppléments multivitaminés et de kits bébé destinés aux femmes.
L’ONG cherche ainsi à favoriser la naissance d’enfants en bonne santé et capables de mener leurs études à terme.
Au Sénégal, une femme sur deux est anémiée, a relevé Amadou Sarré, chef de l’antenne nord de Countrepart qui mène des actions dans l’objectif de remédier à cette situation.
Or, "si 40 pour cent d’entre elles sont anémiés, la situation est préoccupante", du point de vue des spécialistes, a expliqué M. Sarré.
A travers cet appui, précise-t-il, "l’objectif (…) est de donner naissance à des enfants bien portants", ce qui suppose que les mamans elles aussi le soient.
Il souligne que le souci de l’ONG américaine est de laisser derrière elle des partenaires capables de maintenir le cap et d’accompagner les districts sanitaires dans ce domaine.
Dans la région de Saint-Louis, Countrepart accompagne 270 écoles où elle intervient par des dons en vivres.
"Ces médicaments étaient achetés très chers dans les pharmacies et si aujourd’hui un partenaire les met gracieusement à la portée des mamans, nous nous en félicitons", a affirmé Fatou Djiby Faye, ’’badienou gokh’’ (marraine de quartier en wolof) au poste de santé de Sor, à Saint-Louis.
Ces vitamines contribuent à la bonne santé des mamans, estime Mme Faye qui note aussi des retombées intéressantes sur la santé des enfants.
La région médicale avait déjà reçu de l’ONG américaine 2000 suppléments multivitaminés.
APS
L’ONG cherche ainsi à favoriser la naissance d’enfants en bonne santé et capables de mener leurs études à terme.
Au Sénégal, une femme sur deux est anémiée, a relevé Amadou Sarré, chef de l’antenne nord de Countrepart qui mène des actions dans l’objectif de remédier à cette situation.
Or, "si 40 pour cent d’entre elles sont anémiés, la situation est préoccupante", du point de vue des spécialistes, a expliqué M. Sarré.
A travers cet appui, précise-t-il, "l’objectif (…) est de donner naissance à des enfants bien portants", ce qui suppose que les mamans elles aussi le soient.
Il souligne que le souci de l’ONG américaine est de laisser derrière elle des partenaires capables de maintenir le cap et d’accompagner les districts sanitaires dans ce domaine.
Dans la région de Saint-Louis, Countrepart accompagne 270 écoles où elle intervient par des dons en vivres.
"Ces médicaments étaient achetés très chers dans les pharmacies et si aujourd’hui un partenaire les met gracieusement à la portée des mamans, nous nous en félicitons", a affirmé Fatou Djiby Faye, ’’badienou gokh’’ (marraine de quartier en wolof) au poste de santé de Sor, à Saint-Louis.
Ces vitamines contribuent à la bonne santé des mamans, estime Mme Faye qui note aussi des retombées intéressantes sur la santé des enfants.
La région médicale avait déjà reçu de l’ONG américaine 2000 suppléments multivitaminés.
APS