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Aliou FALL, président de séance de la Coordination des Etudiants de Saint-Louis.
« La crise qui secoue l’université sénégalaise est profonde, car elle atteint l’université dans son âme et son esprit. Cela mérite une réflexion féconde si l’on ne veut pas être dépassés par les évènements », a déclaré vendredi le président de séance de la coordination des étudiants de Saint-Louis (Cesl). Aliou FALL qui s’exprimait en marge de l’ouverture d’un séminaire de sa coordination sur le thème « Culture de la paix et du leadership à l’Université Gaston Berger », a déploré la « psychose permanente » qui s’est installée dans les campus sociaux sénégalais, insistant sur l’urgence d’instaurer « un dialogue sincère et franc » entre autorités et étudiants.
« De plus en plus, nous assistons à une désacralisation de l’espace universitaire marquée par une violation des libertés et franchises universitaires », a-t-il dit. « Ce séminaire sur le mouvement étudiant est venu à son heure. Ces réflexions permettront de préserver les acquis et maintenir l’excellence dans les études », a ajouté le président de séance de la Cesl.
Il a par ailleurs salué l’assistance des autorités de l’UGB dans l’organisation de ce panel qui regroupe des pionniers du mouvement estudiantin et d’anciens membres de la Cesl. « Le soutien traduit la belle fidélité construite sur les décombres d’une longue cohabitation franche et collaboratrice depuis qu’il est professeur, directeur d’UFR et aujourd’hui recteur », a rappelé M. FALL, en faisant allusion à l’accompagnement de Monsieur Baydallaye KANE.
« Ensemble, nous devons apprendre à mieux nous connaitre, à nous apprécier et à donner le meilleur de nous-mêmes dans un espace universitaire pacifié. L’occasion est fort opportune de vous inviter à cultiver davantage la voie du dialogue pour défendre des valeurs de justice sociale, d’égalité et de solidarité », estime le professeur Mbissane NGOM, au nom du recteur KANE.
« Ces valeurs ne sont pas gravées dans le marbre. Nous devons sans cesse les affirmer et les enrichir pour arriver à une paix durable dans l’espace universitaire, car le développement de l’UGB ne peut se faire sans un climat de confiance construit sur une base d’équité et de paix durable », dira-t-il, en magnifiant de cette nouvelle démarche qui met en lumière de nouvelles valeurs fondées sur des actions structurantes pour le développement de l’Université Gaston Berger ».
« Notre combat de tous les jours consiste alors à stimuler des débats et de tout mettre en œuvre pour lever les obstacles par la voie du dialogue et de la concertation. Nous devons ensemble créer les conditions d’un dialogue constructif en privilégiant la voie de la négociation pour résoudre les problèmes et promouvoir ainsi un mieux-être social, facteur de progrès et de réussite », a précisé M. NGOM.
« Nous sommes dans un contexte marqué par l’application des réformes issues de la Concertation nationale sur l’Avenir de l’Enseignement supérieur suivi d’un Conseil présidentiel sur l’application des recommandations issues de la CNAES. La CESL doit véritablement s’engager dans une dynamique d’appropriation des décisions issues de ces grands rendez-vous pour les étudier et réclamer une place et un rôle dans le Sénégal de demain », a signalé M. KANE, président de l’Assemblée de l’Université Gaston Berger.
NDARINFO.COM
« De plus en plus, nous assistons à une désacralisation de l’espace universitaire marquée par une violation des libertés et franchises universitaires », a-t-il dit. « Ce séminaire sur le mouvement étudiant est venu à son heure. Ces réflexions permettront de préserver les acquis et maintenir l’excellence dans les études », a ajouté le président de séance de la Cesl.
Il a par ailleurs salué l’assistance des autorités de l’UGB dans l’organisation de ce panel qui regroupe des pionniers du mouvement estudiantin et d’anciens membres de la Cesl. « Le soutien traduit la belle fidélité construite sur les décombres d’une longue cohabitation franche et collaboratrice depuis qu’il est professeur, directeur d’UFR et aujourd’hui recteur », a rappelé M. FALL, en faisant allusion à l’accompagnement de Monsieur Baydallaye KANE.
« Ensemble, nous devons apprendre à mieux nous connaitre, à nous apprécier et à donner le meilleur de nous-mêmes dans un espace universitaire pacifié. L’occasion est fort opportune de vous inviter à cultiver davantage la voie du dialogue pour défendre des valeurs de justice sociale, d’égalité et de solidarité », estime le professeur Mbissane NGOM, au nom du recteur KANE.
« Ces valeurs ne sont pas gravées dans le marbre. Nous devons sans cesse les affirmer et les enrichir pour arriver à une paix durable dans l’espace universitaire, car le développement de l’UGB ne peut se faire sans un climat de confiance construit sur une base d’équité et de paix durable », dira-t-il, en magnifiant de cette nouvelle démarche qui met en lumière de nouvelles valeurs fondées sur des actions structurantes pour le développement de l’Université Gaston Berger ».
« Notre combat de tous les jours consiste alors à stimuler des débats et de tout mettre en œuvre pour lever les obstacles par la voie du dialogue et de la concertation. Nous devons ensemble créer les conditions d’un dialogue constructif en privilégiant la voie de la négociation pour résoudre les problèmes et promouvoir ainsi un mieux-être social, facteur de progrès et de réussite », a précisé M. NGOM.
« Nous sommes dans un contexte marqué par l’application des réformes issues de la Concertation nationale sur l’Avenir de l’Enseignement supérieur suivi d’un Conseil présidentiel sur l’application des recommandations issues de la CNAES. La CESL doit véritablement s’engager dans une dynamique d’appropriation des décisions issues de ces grands rendez-vous pour les étudier et réclamer une place et un rôle dans le Sénégal de demain », a signalé M. KANE, président de l’Assemblée de l’Université Gaston Berger.
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