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Le Professeur Moussa Seck a exposé, samedi, les particularités sociales culturelles et géographiques de continent africain lors d’un forum intitulé ‘’Et l’Afrique demain ?’’, organisé par la Bibliothèque universitaire et présidé par d’éminents intellectuels.
‘’L’Afrique est le seul continent où l’on peut cultiver toutes les plantes du monde, deux fois dans l’année’’, révèle le Président du Consortium panafricain de l’agrobusiness et de l’agro-industrie. Il soutient que la position géographique stratégique du continent, divisé en deux parties équitables( 20% terres et 30% de mers au NORD ,10% terres et 40% de mers au SUD), offre des possibilités réelles de booster l’agriculture.
M. Seck considère que le développement de l’Afrique passera forcement par la connaissance de ses atouts et faiblesses mais aussi par une bonne compréhension des enjeux alimentaires et énergétiques qui l’interpelle. ‘’La maitrise de ces nouvelles connaissances et paradigmes permettra de bâtir une prospective active pour faire face aux nouveaux enjeux et propulser le continent’’, déclare M. Seck.
En outre, le Professeur a déclaré que l’émergence agricole et l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire sont les bases d’un développement économique durable. Toutefois, il souligne que cela passera nécessairement par une politique de modernisation de l’agriculture avec la mise en place d’agropole (villes agricoles).
Il appelle dès lors à l’augmentation de la production des fruits et légumes et la baisse de la primauté faite aux cultures céréalières, en se basant sur le modèle alimentaire de la Chine. ‘’ Le monde mangera demain ce que la chine mange aujourd’hui’’, proclame le scientifique.
M. Seck pense que l’autosuffisance sera atteinte par l’adoption d’une agriculture panafricaine. ‘’L’Afrique n’est pas surpeuplée. Quatre milliards d’individus peuvent vivre dans le continent sans se bousculer alors qu’il ne compte en ce moment qu’un milliard d’habitants’’, argue t-il en ajoutant que la balkanisation de l’Afrique ‘’trop dérisoire’’ est l’obstacle majeur qui freine encore l’envol de l’Afrique.
‘’Maintenant, il faudra regrouper les pays ayant les mêmes caractéristiques géographiques et climatiques, en pôles. Ces centres d’intérêts géographiques travailleront en synergie et échanges de leurs expériences pour concrétiser les ambitions de croissance formulées depuis des années’’, exige-t-il.
Par ailleurs, il a indiqué que la maîtrise de la génétique minérale permettra de créer de l’or, du diamant et de l’argent. Il demeure convaincu que les minéraux fonctionnent par couples naturelles et par ressemblance génétique, comme pour toutes les espèces de la nature. ‘’L’Afrique possède une richesse que seule l’union peut exploiter’’, a conclu M. Seck sous un salve d’applaudissements.
Cheikh Saaad Bou SEYE
‘’L’Afrique est le seul continent où l’on peut cultiver toutes les plantes du monde, deux fois dans l’année’’, révèle le Président du Consortium panafricain de l’agrobusiness et de l’agro-industrie. Il soutient que la position géographique stratégique du continent, divisé en deux parties équitables( 20% terres et 30% de mers au NORD ,10% terres et 40% de mers au SUD), offre des possibilités réelles de booster l’agriculture.
M. Seck considère que le développement de l’Afrique passera forcement par la connaissance de ses atouts et faiblesses mais aussi par une bonne compréhension des enjeux alimentaires et énergétiques qui l’interpelle. ‘’La maitrise de ces nouvelles connaissances et paradigmes permettra de bâtir une prospective active pour faire face aux nouveaux enjeux et propulser le continent’’, déclare M. Seck.
En outre, le Professeur a déclaré que l’émergence agricole et l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire sont les bases d’un développement économique durable. Toutefois, il souligne que cela passera nécessairement par une politique de modernisation de l’agriculture avec la mise en place d’agropole (villes agricoles).
Il appelle dès lors à l’augmentation de la production des fruits et légumes et la baisse de la primauté faite aux cultures céréalières, en se basant sur le modèle alimentaire de la Chine. ‘’ Le monde mangera demain ce que la chine mange aujourd’hui’’, proclame le scientifique.
M. Seck pense que l’autosuffisance sera atteinte par l’adoption d’une agriculture panafricaine. ‘’L’Afrique n’est pas surpeuplée. Quatre milliards d’individus peuvent vivre dans le continent sans se bousculer alors qu’il ne compte en ce moment qu’un milliard d’habitants’’, argue t-il en ajoutant que la balkanisation de l’Afrique ‘’trop dérisoire’’ est l’obstacle majeur qui freine encore l’envol de l’Afrique.
‘’Maintenant, il faudra regrouper les pays ayant les mêmes caractéristiques géographiques et climatiques, en pôles. Ces centres d’intérêts géographiques travailleront en synergie et échanges de leurs expériences pour concrétiser les ambitions de croissance formulées depuis des années’’, exige-t-il.
Par ailleurs, il a indiqué que la maîtrise de la génétique minérale permettra de créer de l’or, du diamant et de l’argent. Il demeure convaincu que les minéraux fonctionnent par couples naturelles et par ressemblance génétique, comme pour toutes les espèces de la nature. ‘’L’Afrique possède une richesse que seule l’union peut exploiter’’, a conclu M. Seck sous un salve d’applaudissements.
Cheikh Saaad Bou SEYE
