La situation s’aggrave dans plusieurs quartiers de la ville et dans l’ile où les populations, déboussolées, appellent à l’aide. « Nous ne savons plus à quel saint se vouer. Les autorités doivent vite réagir », témoigne Ahmadou Badar DIOP, habitant de LODO.
« La nuit, vous marcher la peur dans le ventre devant les hordes de chiens errants qui déambulent. J’ai des images à l’appui », a-t-il indiqué dans l’émission « Beceggu Ndar Kamm » de la radio municipale animée par notre consoeur Suzanne DIEYE.
La zone de captage et la digue de Pikine et de Ndiolofène, les abords de la station de pompage de Diaminar et de la maison de l'ile, enregistrent les plus grandes concentrations de chiens enragés de la ville. Au-delà de la psychose et de la crainte qu’ils engendrent chez les passants, les batailles nocturnes et grondements plongent les riverains dans une torpeur continue.
NDARINFO.COM
« La nuit, vous marcher la peur dans le ventre devant les hordes de chiens errants qui déambulent. J’ai des images à l’appui », a-t-il indiqué dans l’émission « Beceggu Ndar Kamm » de la radio municipale animée par notre consoeur Suzanne DIEYE.
La zone de captage et la digue de Pikine et de Ndiolofène, les abords de la station de pompage de Diaminar et de la maison de l'ile, enregistrent les plus grandes concentrations de chiens enragés de la ville. Au-delà de la psychose et de la crainte qu’ils engendrent chez les passants, les batailles nocturnes et grondements plongent les riverains dans une torpeur continue.
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