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L’appel lancé par l’association Terre Africaine, concernant un chantier au Sénégal, a séduit des jeunes de toute la Lorraine. Une première prise de contact a eu lieu, samedi à Mousson, dans la salle de la Colonie, sous forme ludique pour apprendre à se connaître. Avant de préparer et de partager le repas puis d’entamer la partie administrative du séjour. « Chacun doit rédiger une lettre de motivation auprès du ministère des Affaires étrangères, qui gère le dispositif JSI : Jeunesse, solidarité internationale », explique Marjorie Pionzda, qui encadrera le groupe avec Françoise Rebmann, du 16 juillet au 5 août.
Sur place, à Keur Barka, situé à sept kilomètres de Saint-Louis, les huit filles et deux garçons vont réhabiliter quatre salles de classe. Le gros œuvre est pris en charge par des entreprises, les jeunes Français s’occuperont de la peinture et de la réfection des sols, entre autres.
« Ils vont participer à un festival culturel avec leurs homologues sénégalais », indique Jean-Luc Rebmann, président de l’association. Lors des représentations, ils seront tantôt spectateurs, tantôt acteurs, « sauf pendant la lutte sénégalaise, le sport national ».
Les échanges pourraient fonctionner en sens inverse à partir de mi-avril. Un représentant d’Afrique vision nouvelle (AVN) pourrait se rendre à Pont-à-Mousson.
Samedi, Romwald Parisot, un lycéen lyonnais, participait à la rencontre mais ne se rendra pas à Keur Barka ; il finissait un stage d’observation d’une semaine à Terre Africaine. En 2014, quand il habitait encore Corcieux, dans les Vosges, sa sœur était partie au Sénégal. Lui y pense car il aime voyager et découvrir de nouvelles cultures.
Plus tard, l’élève, en 1re littéraire au lycée Saint-Marc de Lyon, souhaiterait effectuer des traductions ou enseigner le français à l’étranger. Son stage à Terre Africaine ne pouvait que correspondre à ses attentes. Il a travaillé sur la communication de l’association et proposé une version anglaise de son blog.
Sujet important traité samedi après-midi : la recherche de solutions pour financer le séjour. Là encore, Romwald avait recherché des informations pour lancer différentes pistes.
Chacun joue un rôle essentiel dans la préparation du séjour.
Sur place, à Keur Barka, situé à sept kilomètres de Saint-Louis, les huit filles et deux garçons vont réhabiliter quatre salles de classe. Le gros œuvre est pris en charge par des entreprises, les jeunes Français s’occuperont de la peinture et de la réfection des sols, entre autres.
« Ils vont participer à un festival culturel avec leurs homologues sénégalais », indique Jean-Luc Rebmann, président de l’association. Lors des représentations, ils seront tantôt spectateurs, tantôt acteurs, « sauf pendant la lutte sénégalaise, le sport national ».
Les échanges pourraient fonctionner en sens inverse à partir de mi-avril. Un représentant d’Afrique vision nouvelle (AVN) pourrait se rendre à Pont-à-Mousson.
Samedi, Romwald Parisot, un lycéen lyonnais, participait à la rencontre mais ne se rendra pas à Keur Barka ; il finissait un stage d’observation d’une semaine à Terre Africaine. En 2014, quand il habitait encore Corcieux, dans les Vosges, sa sœur était partie au Sénégal. Lui y pense car il aime voyager et découvrir de nouvelles cultures.
Plus tard, l’élève, en 1re littéraire au lycée Saint-Marc de Lyon, souhaiterait effectuer des traductions ou enseigner le français à l’étranger. Son stage à Terre Africaine ne pouvait que correspondre à ses attentes. Il a travaillé sur la communication de l’association et proposé une version anglaise de son blog.
Sujet important traité samedi après-midi : la recherche de solutions pour financer le séjour. Là encore, Romwald avait recherché des informations pour lancer différentes pistes.
Chacun joue un rôle essentiel dans la préparation du séjour.
