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Plusieurs recommandations ont été faites aux femmes des régions de Louga, Matam et Saint-Louis investies sur les listes pour les élections législatives du 1-er juillet prochain, à l’issue d’un atelier sur le leadership auquel elles ont pris part.
Oumou Khairy Niang Mbodj, directrice des relations avec les organisations nationales et institutions étrangères, les a invitées, jeudi, à ‘’bien identifier les problèmes de leurs localités pour tenir un discours crédible qui tient compte des préoccupations des populations dont elles défendent les intérêts au parlement’’.
Mme Mbodj a recommandé à ses sœurs ‘’de bien préparer leur discours en se donnant la peine de cibler les destinataires de leur message, convaincre leur auditoire durant la campagne et une fois élues au sein du parlement’’.
Pour elle, les femmes doivent ’’planifier leur interventions et bien gérer le temps, afin d’atteindre leurs objectifs tout en bannissant la démagogie’’.
‘’Il ne faut pas faire des promesses que vous ne pourrez tenir’’, a-t-elle expliqué, les appelant à renvoyer certaines requêtes à d’autres séances sachant que le député ne peut que soumettre les doléances des populations aux instances décisionnelles.
Le gouverneur de la région de Saint-Louis, Léopold Wade, a quant à lui insisté sur la loi sur la parité qui confère à la femme sénégalaise ’’un plus grand rôle dans la gestion des affaires de la cité’’. Selon lui, ce n’est que justice que ces femmes, qui constituent le plus grand nombre, occupent une place de choix dans les assemblées électives.
‘’Les femmes constituent plus de 50 pour cent de la population et la démocratie qui donne le pouvoir à la majorité leur est favorable’’, a dit le nouveau gouverneur, non sans s’inscrire en faux contre les critiques à l’égard des femmes pour leur taux élevé d’analphabétisme.
‘’Au Sénégal, on a le culte du diplôme mais j’ai rencontré, à travers le pays, des compétences qui n’ont rien à envier aux diplômés’’, a expliqué M. Wade, se félicitant du rôle que jouent les femmes dans le développement économique du pays.
APS
Oumou Khairy Niang Mbodj, directrice des relations avec les organisations nationales et institutions étrangères, les a invitées, jeudi, à ‘’bien identifier les problèmes de leurs localités pour tenir un discours crédible qui tient compte des préoccupations des populations dont elles défendent les intérêts au parlement’’.
Mme Mbodj a recommandé à ses sœurs ‘’de bien préparer leur discours en se donnant la peine de cibler les destinataires de leur message, convaincre leur auditoire durant la campagne et une fois élues au sein du parlement’’.
Pour elle, les femmes doivent ’’planifier leur interventions et bien gérer le temps, afin d’atteindre leurs objectifs tout en bannissant la démagogie’’.
‘’Il ne faut pas faire des promesses que vous ne pourrez tenir’’, a-t-elle expliqué, les appelant à renvoyer certaines requêtes à d’autres séances sachant que le député ne peut que soumettre les doléances des populations aux instances décisionnelles.
Le gouverneur de la région de Saint-Louis, Léopold Wade, a quant à lui insisté sur la loi sur la parité qui confère à la femme sénégalaise ’’un plus grand rôle dans la gestion des affaires de la cité’’. Selon lui, ce n’est que justice que ces femmes, qui constituent le plus grand nombre, occupent une place de choix dans les assemblées électives.
‘’Les femmes constituent plus de 50 pour cent de la population et la démocratie qui donne le pouvoir à la majorité leur est favorable’’, a dit le nouveau gouverneur, non sans s’inscrire en faux contre les critiques à l’égard des femmes pour leur taux élevé d’analphabétisme.
‘’Au Sénégal, on a le culte du diplôme mais j’ai rencontré, à travers le pays, des compétences qui n’ont rien à envier aux diplômés’’, a expliqué M. Wade, se félicitant du rôle que jouent les femmes dans le développement économique du pays.
APS
