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Ma Christelle de [Rba Malick]url:http://www.facebook.com/mba.malick (Lauréat Premier prix ex-aequo du concours)
Ma Christelle
Tu t’es ouverte à ma face
Comme un pétale de roses au petit matin.
Ton regard a fait vibrer mon corps,
Ton appel a fait sonner mon cœur.
J’ai décroché, et
J’entends un lyrisme rose
Comme les vagues bleues de l’océan.
Je me suis assis pour humer une goulée de brise,
J’inhale ton parfum qui hydrate mon cœur et
Je survole la terre.
Tu m’as emmené au septième ciel où
J’ai suivi le feu d’artifice avec mon astrolabe :
Soixante dix sept mille sept cent
Soixante dix sept feux à ton image.
Je t’ai crié "je t’aime" sept fois.
Je l’ai gravé dans l’air, un tourbillon l’a charrié ;
Je l’ai gravé sur le sable fin,
Une vague l’a emporté dans les profondeurs de la grande bleue ;
Je l’ai gravé sur mon cœur,
Sept bougies l’illuminent à jamais.
Ma Christelle
Tu t’es ouverte à ma face
Comme un pétale de roses au petit matin.
Ton regard a fait vibrer mon corps,
Ton appel a fait sonner mon cœur.
J’ai décroché, et
J’entends un lyrisme rose
Comme les vagues bleues de l’océan.
Je me suis assis pour humer une goulée de brise,
J’inhale ton parfum qui hydrate mon cœur et
Je survole la terre.
Tu m’as emmené au septième ciel où
J’ai suivi le feu d’artifice avec mon astrolabe :
Soixante dix sept mille sept cent
Soixante dix sept feux à ton image.
Je t’ai crié "je t’aime" sept fois.
Je l’ai gravé dans l’air, un tourbillon l’a charrié ;
Je l’ai gravé sur le sable fin,
Une vague l’a emporté dans les profondeurs de la grande bleue ;
Je l’ai gravé sur mon cœur,
Sept bougies l’illuminent à jamais.
Je me souviens ma Valentine de [Cheikh Ahmed Tidiane Mbow]url:http://www.facebook.com/mbowlinda (Lauréat Premier prix ex-aequo du concours)
Je me souviens ma Valentine
Je me souviens de ta jolie statue bronze claire
Je me souviens de tes dents fines, de ta peau claire
Je me souviens de tes yeux noirs d’où partait un fluide chaud,
Qui pénétrait, troublait, rendait étrangement amoureux
Fine de manières, de sentiments, fine dans le choix de tes toilettes,
Tu m’attachais au fond de ton cœur par tes cordelettes
En pensant à toi, cette pensée s’abima dans le souvenir
Je me souviens des moments passés avec toi qui me faisaient rougir
Je me souviens de tes baisers brulants
Dont la seule évocation m’émouvait ardemment
Je me souviens de ta voix enjôleuse,
Qui me rendait joyeux, une affection grandiose
Je me souviens, s’embrassaient jusqu’à perdre haleine
Oh ! Heureux comme des phalènes.
Je me souviens ma Valentine
Je me souviens de ta jolie statue bronze claire
Je me souviens de tes dents fines, de ta peau claire
Je me souviens de tes yeux noirs d’où partait un fluide chaud,
Qui pénétrait, troublait, rendait étrangement amoureux
Fine de manières, de sentiments, fine dans le choix de tes toilettes,
Tu m’attachais au fond de ton cœur par tes cordelettes
En pensant à toi, cette pensée s’abima dans le souvenir
Je me souviens des moments passés avec toi qui me faisaient rougir
Je me souviens de tes baisers brulants
Dont la seule évocation m’émouvait ardemment
Je me souviens de ta voix enjôleuse,
Qui me rendait joyeux, une affection grandiose
Je me souviens, s’embrassaient jusqu’à perdre haleine
Oh ! Heureux comme des phalènes.
