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Les cinq (5) arrêtées pour actes contre-nature au bar-restaurant « piano-piano » passent à table face aux limiers de la Sureté Urbaine (SU) du commissariat central de Dakar où elles ont passé pas moins de 72 heures en garde-à-vue avant d’être mises sous mandat de dépôt mercredi dernier en attendant d’être fixées sur leur sort ce lundi.
B.N. Dieng la plus jeune du groupe qui confesse être souvent en compagnie de lesbiennes, tient à préciser qu’elle n’en est pas une. Vers les coups de 00h30 au moment où la police est entré dans le bar, « je n’embrassais pas F. Ndoye. Je reconnais être souvent en compagnie de lesbiennes mais je n’en suis pas une. La preuve, j’ai été mariée avant de divorcer et j’ai un enfant » en ne daignant même pas répondre aux limiers lorsque ces derniers lui rétorquent que cela ne voulait rien dire, cela ne peut s’agir que d’une stratégie de « bisexuelle ».
Ayant fait la connaissance de B.N. Dieng, il y a environ deux (2) mois, C. Sao, 25 ans jure aussi qu’elle ne faisait rien de répréhensible le fameux soir de l’anniversaire de sa copine mais elle reconnait être homosexuelle. Toutefois, le détail qui intrigue les policiers, c’est que cette dernière a soutenu vivre dans un appartement loué à 10.000 F CFA soit 300.000 F CFA par mois alors qu’elle est au chômage.
Au début, elle ne voulait pas participer à la soirée mais puisque sa copine C. Sao a insisté, N. Diallo alias Hélène a fait le déplacement. « J’avoue que je suis lesbienne et que je n’ai jamais couché avec un homme. Je suis encore vierge » avoue-t-elle face aux limiers à qui elle confie. « Je me sens toujours attirée par les filles. Je souffre énormément de cette situation parce que je voulais être comme toutes les autres femmes normales, me marier et avoir des enfants, mais… ».
Doyenne du groupe, S.N. Dieng habituée des bars comme le « Piano-piano » est une lesbienne qui s’y rend à la recherche de partenaires. Même si comme son amie son statut ne l’enchante guère, « cela ne me plait mais que faire ? Mêmes mes parents ne sont pas au courant de mon penchant» déplore-t-elle en enfonçant ses copines en ces termes. « la plupart des filles qui ont assisté à cet anniversaire sont des homosexuelles mais à l’arrivée des « flics », je ne caressais personne et aucune ne me touchait non plus ».
Ex-prostituée, F. Ndoye dit pour sa part avoir abandonné le plus vieux métier du monde et c’est peu après avoir tourné cette page de sa vie en 2010 qu’elle commence à avoir des pratiques de lesbienne. Un vice qu’elle a pris en partageant souvent son lit avec des filles qui l’ont initiée » confesse-t-elle en reconnaissant être éméchée à l’arrivée des policiers mais qu’elle n’embrassait personne.
pressafrik.com
B.N. Dieng la plus jeune du groupe qui confesse être souvent en compagnie de lesbiennes, tient à préciser qu’elle n’en est pas une. Vers les coups de 00h30 au moment où la police est entré dans le bar, « je n’embrassais pas F. Ndoye. Je reconnais être souvent en compagnie de lesbiennes mais je n’en suis pas une. La preuve, j’ai été mariée avant de divorcer et j’ai un enfant » en ne daignant même pas répondre aux limiers lorsque ces derniers lui rétorquent que cela ne voulait rien dire, cela ne peut s’agir que d’une stratégie de « bisexuelle ».
Ayant fait la connaissance de B.N. Dieng, il y a environ deux (2) mois, C. Sao, 25 ans jure aussi qu’elle ne faisait rien de répréhensible le fameux soir de l’anniversaire de sa copine mais elle reconnait être homosexuelle. Toutefois, le détail qui intrigue les policiers, c’est que cette dernière a soutenu vivre dans un appartement loué à 10.000 F CFA soit 300.000 F CFA par mois alors qu’elle est au chômage.
Au début, elle ne voulait pas participer à la soirée mais puisque sa copine C. Sao a insisté, N. Diallo alias Hélène a fait le déplacement. « J’avoue que je suis lesbienne et que je n’ai jamais couché avec un homme. Je suis encore vierge » avoue-t-elle face aux limiers à qui elle confie. « Je me sens toujours attirée par les filles. Je souffre énormément de cette situation parce que je voulais être comme toutes les autres femmes normales, me marier et avoir des enfants, mais… ».
Doyenne du groupe, S.N. Dieng habituée des bars comme le « Piano-piano » est une lesbienne qui s’y rend à la recherche de partenaires. Même si comme son amie son statut ne l’enchante guère, « cela ne me plait mais que faire ? Mêmes mes parents ne sont pas au courant de mon penchant» déplore-t-elle en enfonçant ses copines en ces termes. « la plupart des filles qui ont assisté à cet anniversaire sont des homosexuelles mais à l’arrivée des « flics », je ne caressais personne et aucune ne me touchait non plus ».
Ex-prostituée, F. Ndoye dit pour sa part avoir abandonné le plus vieux métier du monde et c’est peu après avoir tourné cette page de sa vie en 2010 qu’elle commence à avoir des pratiques de lesbienne. Un vice qu’elle a pris en partageant souvent son lit avec des filles qui l’ont initiée » confesse-t-elle en reconnaissant être éméchée à l’arrivée des policiers mais qu’elle n’embrassait personne.
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