
Elle est venue, brusque comme une faucheuse
Sans compassion, elle emporta la Précieuse
Me laissant seul au milieu de cette vaste mer
Orphelin à jamais de mon adorée grand-mère
Me privant ainsi de cette voix qui avait le don
De m’adoucir. Cruelle, elle a coupe le pont
Qui me reliait a Tano Wouro, comme la parque coupe
Le fil de la vie. Ma vie insipide, la soupe
N’a plus de goût ni de fumée a mes yeux.
Pour me consoler, l’on me dit qu’elle est aux cieux
Mieux, qu’elle se promène à travers les jardins
D’Eden, parée d’une tenue blanche…
Thiès, 29 août 2008
(c) 30 699 09 01 12
Tous droits réservés
Sans compassion, elle emporta la Précieuse
Me laissant seul au milieu de cette vaste mer
Orphelin à jamais de mon adorée grand-mère
Me privant ainsi de cette voix qui avait le don
De m’adoucir. Cruelle, elle a coupe le pont
Qui me reliait a Tano Wouro, comme la parque coupe
Le fil de la vie. Ma vie insipide, la soupe
N’a plus de goût ni de fumée a mes yeux.
Pour me consoler, l’on me dit qu’elle est aux cieux
Mieux, qu’elle se promène à travers les jardins
D’Eden, parée d’une tenue blanche…
Thiès, 29 août 2008
(c) 30 699 09 01 12
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[[1]]url:#_ftnref1 Grand-mère en puulaar.