Le Centre Régional des Œuvres universitaires de Saint-Louis (CROUS) galvanise ses agents de sécurité. Des uniformes complets leur ont été remis, cette semaine, en vue de les motiver. Ces derniers ont adressé, dimanche, de vifs remerciements au directeur Ibrahima DIAO qu’ils invitent à suivre cette dynamique.
« Nous lui demandons d’améliorer notre situation. Ce sont des pères et de soutiens de famille, ici. Ils s’activent quotidiennement à la sécurité de centre et doivent ressentir leurs efforts à travers les paiements », a dit leur responsable très satisfait.
« Sans la sécurité, rien ne marche. C’est un travail extrêmement difficile », a-t-il rappelé en exigeant notamment plus de contrats d’embauche pour ses camarades.
Rappelons que cette dotation intervient dans un contexte de climat délétère au sein du campus social marqué notamment par une colère des étudiants suite au retard de paiement des bourses. Pour exprimer leur ras-le-bol, ces derniers avaient décrété une grève illimitée et des Journées Sans Tickets (JST) avant de suspendre le mouvement.
Ces crises prématurées qui secouent la sérénité pédagogique d’université qui perd son image de marque mettent en cause l’efficacité du top management de ce temple du Sanar et le manque de concertation entre autorités et étudiants.
NDARINFO.COM
« Nous lui demandons d’améliorer notre situation. Ce sont des pères et de soutiens de famille, ici. Ils s’activent quotidiennement à la sécurité de centre et doivent ressentir leurs efforts à travers les paiements », a dit leur responsable très satisfait.
« Sans la sécurité, rien ne marche. C’est un travail extrêmement difficile », a-t-il rappelé en exigeant notamment plus de contrats d’embauche pour ses camarades.
Rappelons que cette dotation intervient dans un contexte de climat délétère au sein du campus social marqué notamment par une colère des étudiants suite au retard de paiement des bourses. Pour exprimer leur ras-le-bol, ces derniers avaient décrété une grève illimitée et des Journées Sans Tickets (JST) avant de suspendre le mouvement.
Ces crises prématurées qui secouent la sérénité pédagogique d’université qui perd son image de marque mettent en cause l’efficacité du top management de ce temple du Sanar et le manque de concertation entre autorités et étudiants.
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