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Le recteur de l’Université Gaston Berger, le Professeur Baydallaye KANE, a présidé vendredi l’ouverture des travaux d’élaboration d’un décret portant création d’un service d’activités industrielles et commerciales au sein de cette institution universitaire.
La création de ce cadre de création de richesses, est un signe de rupture porté par un label d’excellence, permet de sécuriser la volonté des partenaires daller de l’avant dans leur collaboration avec nos universités, a déclaré Amadou Diop SARR, représentant du Ministère des Mines et des Finances.
En faisant part de l’engagement de son organisation à soutenir l’UGB dans cette dynamique, M. SARR a soutenu que son ministère et « sensible à ce volet de partenariat » noué avec l’Université Gaston Berger.
« Tous les secteurs du ministère sont impliqués à ces échanges. Ils ont été invités à la contribution », a-t-il dit.
Un incubateur pilote sera installé à l’UGB par le Ministère des l’Industrie et des Mines. Ce projet matérialise le partenariat dynamique et efficace, a dit M. SARR.
Le recteur Baydallaye KANE qui a insisté sur l’importance de ce décret dans la production de ressources additionnelles pouvant garantir l’autonomisation des universités publiques, a salué les efforts entrepris par le direction des affaires juridiques et du contentieux de l'UGB pour la bonne tenue de cette rencontre.
« Elles permettront de soutenir les projets de recherche, elles feront en sorte que la pédagogie fonctionne de manière efficace », a signalé le recteur KANE, en témoignant de la disponibilité de l’UGB en travailler en parfaite synergie avec les universités sénégalaises dans cet esprit, pour garantir la réussite de cette importante innovation pédagogique.
Le PCA de l’Autorité nationale d'assurance qualité de l'enseignement supérieur (ANAQ-SUP), estime que l’élaboration de ce décret permet de « sortir des chantiers battus » et « configurations classiques» .
« Il nous faudra ouvrir d’autres chantiers pour rendre à l’Université son autonomie par rapport a l’État », pense le professeur Abdoulaye SENE.
« C’est atelier qui va permettre aux autres universités de faire la jonction entre le secteur économique dans et les compétences proposées par l’Université », a-t-il expliqué.
NDARINFO.COM
La création de ce cadre de création de richesses, est un signe de rupture porté par un label d’excellence, permet de sécuriser la volonté des partenaires daller de l’avant dans leur collaboration avec nos universités, a déclaré Amadou Diop SARR, représentant du Ministère des Mines et des Finances.
En faisant part de l’engagement de son organisation à soutenir l’UGB dans cette dynamique, M. SARR a soutenu que son ministère et « sensible à ce volet de partenariat » noué avec l’Université Gaston Berger.
« Tous les secteurs du ministère sont impliqués à ces échanges. Ils ont été invités à la contribution », a-t-il dit.
Un incubateur pilote sera installé à l’UGB par le Ministère des l’Industrie et des Mines. Ce projet matérialise le partenariat dynamique et efficace, a dit M. SARR.
Le recteur Baydallaye KANE qui a insisté sur l’importance de ce décret dans la production de ressources additionnelles pouvant garantir l’autonomisation des universités publiques, a salué les efforts entrepris par le direction des affaires juridiques et du contentieux de l'UGB pour la bonne tenue de cette rencontre.
« Elles permettront de soutenir les projets de recherche, elles feront en sorte que la pédagogie fonctionne de manière efficace », a signalé le recteur KANE, en témoignant de la disponibilité de l’UGB en travailler en parfaite synergie avec les universités sénégalaises dans cet esprit, pour garantir la réussite de cette importante innovation pédagogique.
Le PCA de l’Autorité nationale d'assurance qualité de l'enseignement supérieur (ANAQ-SUP), estime que l’élaboration de ce décret permet de « sortir des chantiers battus » et « configurations classiques» .
« Il nous faudra ouvrir d’autres chantiers pour rendre à l’Université son autonomie par rapport a l’État », pense le professeur Abdoulaye SENE.
« C’est atelier qui va permettre aux autres universités de faire la jonction entre le secteur économique dans et les compétences proposées par l’Université », a-t-il expliqué.
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