ACCUEIL
« Nous sommes convaincus que l’excellence nécessite des coûts, elle nécessite des moyens. Mais l’excellence exige aussi des sacrifices et un sens élevé du patriotisme. Et cela, tout un chacun d’entre nous doit, en lui-même, se doit d’incarner ses valeurs. Nous croyons fermement que toutes les parties prenantes à la vie universitaire, Etudiants, personnel administratif et enseignement doivent en eux-mêmes être le changement qu’ils souhaitent parce que pour progresser, il ne faut pas répéter l'histoire, mais en produire une nouvelle. Il faut ajouter à l'héritage que nous ont laissé nos ancêtres et nos parents ».
« Ce changement devrait commencer par un travail d’introspection que nous étudiants, avons la responsabilité de mener. Je crois que les grèves récurrentes et la violence n’ont pas leur place à l’université. L’ère où nous cassions des bus et où on s’affrontait aux forces de l’ordre doivent aujourd’hui être révolu. La bataille est intellectuelle. Les revendications se portent obligatoirement par des idées et par des convictions mais surtout par un sens élevé de la responsabilité et de la mesure. Nous croyons, comme le dit bien souvent Monsieur Alpha Mamadou Sall ici présent, Secrétaire Général de la Commission Sociale des Etudiants que nous félicitons au passage : (je le cite) la force de l’argument est toujours préférable à l’argument de la force (fin de citation). Et le guide, Mahatma Ghandi chantre de la lutte pacifique, disait bien (je le cite). Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble engendrer le bien, le bien qui en résulte n'est que transition, tandis que le mal produit est permanent".
« Madame le Premier Ministre, Envoyé Spécial du Président, nous croyons que si notre pays en est là aujourd’hui, c’est parce que notre Université a toujours eu pour seule et unique fonctions, la formation de diplômés. Tant que l’université forme des diplômés, ce pays n’ira pas loin car au fond, il ne sert à rien d’avoir des diplômes et d’être un trouillard, incapable de porter ses idées et ses convictions ».
« Ce qui a retardé notre pays, c’est le fait que nos universités ont toujours formés des diplômés incapable de faire preuve d’un esprit collectif et communautaire.
Le malheur de notre pays, c’est que nos Universités n’ont pas beaucoup été de véritables universités de leaders, des universités d’engagement ».
« D’où la nécessité de retourner à la fonction fondamentale de l’Université qui est d’accoucher de citoyen capable d’impulser le changement dans leur environnement ».
« C’est dans cette perspective que pour préparer un avenir meilleur qui passera par le changement de notre système éducatif, Le Forum Des jeunes Leaders d’Afrique propose que le service civique soit institutionnalisé à l’Université. Ce service civique serait un moyen adéquat et efficace pour inculquer aux apprenants des valeurs et croyances qui feront d’eux de véritables citoyens capables de servir leur pays. Cette citoyenneté, elle ne s’apprend pas exclusivement entre les quatre murs d’une salle de classe. »
« Ce changement devrait commencer par un travail d’introspection que nous étudiants, avons la responsabilité de mener. Je crois que les grèves récurrentes et la violence n’ont pas leur place à l’université. L’ère où nous cassions des bus et où on s’affrontait aux forces de l’ordre doivent aujourd’hui être révolu. La bataille est intellectuelle. Les revendications se portent obligatoirement par des idées et par des convictions mais surtout par un sens élevé de la responsabilité et de la mesure. Nous croyons, comme le dit bien souvent Monsieur Alpha Mamadou Sall ici présent, Secrétaire Général de la Commission Sociale des Etudiants que nous félicitons au passage : (je le cite) la force de l’argument est toujours préférable à l’argument de la force (fin de citation). Et le guide, Mahatma Ghandi chantre de la lutte pacifique, disait bien (je le cite). Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble engendrer le bien, le bien qui en résulte n'est que transition, tandis que le mal produit est permanent".
« Madame le Premier Ministre, Envoyé Spécial du Président, nous croyons que si notre pays en est là aujourd’hui, c’est parce que notre Université a toujours eu pour seule et unique fonctions, la formation de diplômés. Tant que l’université forme des diplômés, ce pays n’ira pas loin car au fond, il ne sert à rien d’avoir des diplômes et d’être un trouillard, incapable de porter ses idées et ses convictions ».
« Ce qui a retardé notre pays, c’est le fait que nos universités ont toujours formés des diplômés incapable de faire preuve d’un esprit collectif et communautaire.
Le malheur de notre pays, c’est que nos Universités n’ont pas beaucoup été de véritables universités de leaders, des universités d’engagement ».
« D’où la nécessité de retourner à la fonction fondamentale de l’Université qui est d’accoucher de citoyen capable d’impulser le changement dans leur environnement ».
« C’est dans cette perspective que pour préparer un avenir meilleur qui passera par le changement de notre système éducatif, Le Forum Des jeunes Leaders d’Afrique propose que le service civique soit institutionnalisé à l’Université. Ce service civique serait un moyen adéquat et efficace pour inculquer aux apprenants des valeurs et croyances qui feront d’eux de véritables citoyens capables de servir leur pays. Cette citoyenneté, elle ne s’apprend pas exclusivement entre les quatre murs d’une salle de classe. »
