Les populations du village de Boudiouck Peul (Commune de GANDON) sont dans tous leurs états. Elles ont arboré des brassards rouges, mercredi, pour exprimer leur ras-le-bol devant l’indisponibilité de l’eau potable dans leur localité située à une dizaine de kilomètres de Saint-Louis.
« À chaque campagne électorale, on nous nous promet une extension et ceci, depuis 2012 », fulminent les manifestants qui déclarent « non gratta » dans leur village, les politiciens de l’Alliance pour la République (APR).
« Aux législatives, ils nous avaient dit que le réseau se trouvait à Khar YALLA et qu’après, il serait prolongé, ici. Cela n’a pas été fait », crie un manifestant. « Nous ne pouvons plus accepter que l’on nous considère comme des écervelés. Nous voulons que cela cesse », a-t-il ajouté.
Les populations révèlent qu’ils dépensent plus de 750 FCFA par jour pour se procurer de la source de vie. Des charrettes d’ânes sont utilisées pour l’acheminement de l’eau de puits dans les concessions, non loin de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
« Nous les femmes du village nous souffrons gravement. Nous endurons quotidiennement la corvée d’eau. Nous sommes, toutes, contraintes de la supporter. Cette situation ne peut pas continuer. Nous demandons au président de la République, lui-même, de nous venir aider. Les politiciens à qui il a remis la charge de nous assister ne le font pas », a déclaré l’une d’elles.
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« À chaque campagne électorale, on nous nous promet une extension et ceci, depuis 2012 », fulminent les manifestants qui déclarent « non gratta » dans leur village, les politiciens de l’Alliance pour la République (APR).
« Aux législatives, ils nous avaient dit que le réseau se trouvait à Khar YALLA et qu’après, il serait prolongé, ici. Cela n’a pas été fait », crie un manifestant. « Nous ne pouvons plus accepter que l’on nous considère comme des écervelés. Nous voulons que cela cesse », a-t-il ajouté.
Les populations révèlent qu’ils dépensent plus de 750 FCFA par jour pour se procurer de la source de vie. Des charrettes d’ânes sont utilisées pour l’acheminement de l’eau de puits dans les concessions, non loin de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
« Nous les femmes du village nous souffrons gravement. Nous endurons quotidiennement la corvée d’eau. Nous sommes, toutes, contraintes de la supporter. Cette situation ne peut pas continuer. Nous demandons au président de la République, lui-même, de nous venir aider. Les politiciens à qui il a remis la charge de nous assister ne le font pas », a déclaré l’une d’elles.
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