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Notre source est formelle. C’est un cas suspect d’Ebola qui agite présentement le service de maladies infectieuses de l’hôpital Fann. C’est une blanche directement en provenance du Libéria qui y a été admise tôt ce samedi matin. Contacté par Pressafrik.com, le Directeur de la Prévention, El Hadji Mamadou Ndiaye confirme. Le pire, c’est que la dame présente une forte fièvre même si le personnel du service en question refuse d’en parler. Encore pire, le chauffeur de taxi qui l’a déposé ce matin, en provenance directement de l’aéroport, a pris la fuite.
Le Libéria, c'est là-bas que les deux Américains ont été contaminés; de même que le missionnaire espagnol. Au téléphone, le chef du comité de gestion des épidémies nie toutefois le cas suspect et ne manque pas de définir ce qu’ils appellent eux, cas suspect. Selon El Hadji Omar BA, il faut que la personne ait séjourné pendant 42 jours dans une zone atteinte et qu’elle présente ces signes : une forte fièvre et une hémorragie.
Ce qui n’est encore le cas de la blanche internée à l’hôpital Fann qui ne souffre pas encore d’hémorragie mais présente bel et bien le premier signe, la forte fièvre. A noter que le chef du comité de gestion des épidémies a été contacté vers les coups de 04 heures du matin et que les analyses de la patiente ont été déjà effectuées au SAMU. Selon toujours ce dernier, présentement sous nos cieux, il suffit qu'un patient en provenance des zones atteintes, se présente dans un service pour que ce soit la panique à l'Ebola".
Affaire à suivre.
Pressafrik
Le Libéria, c'est là-bas que les deux Américains ont été contaminés; de même que le missionnaire espagnol. Au téléphone, le chef du comité de gestion des épidémies nie toutefois le cas suspect et ne manque pas de définir ce qu’ils appellent eux, cas suspect. Selon El Hadji Omar BA, il faut que la personne ait séjourné pendant 42 jours dans une zone atteinte et qu’elle présente ces signes : une forte fièvre et une hémorragie.
Ce qui n’est encore le cas de la blanche internée à l’hôpital Fann qui ne souffre pas encore d’hémorragie mais présente bel et bien le premier signe, la forte fièvre. A noter que le chef du comité de gestion des épidémies a été contacté vers les coups de 04 heures du matin et que les analyses de la patiente ont été déjà effectuées au SAMU. Selon toujours ce dernier, présentement sous nos cieux, il suffit qu'un patient en provenance des zones atteintes, se présente dans un service pour que ce soit la panique à l'Ebola".
Affaire à suivre.
Pressafrik
