« L’un d’es délégués syndicaux a clairement déclaré dans une manifestation publique qu’il ne peut plus critiquer le directeur compte tenu des importants privilèges qu’i leur a accordés », révèle Khady WADE, assistante chargée des affaires du personnel du CROUS. « Nous attendons Ibrahima DIAO de pied ferme. Chaque fois qu’un responsable rame à contre-courant, il tente de le museler », assure Mme WADE.
« Le mandant des syndicalistes en question est arrivé à échéance depuis Birame Ndeck NDIAYE. Étant très proches et complices du directeur, ils refusent catégoriquement d’organiser une assemblée générale de renouvellement pour mieux profiter de leur position », a-t-elle ajouté.
« Aujourd’hui, le CROUS vit dans les moments les plus sombres de son histoire. Il est rempli de journaliers. Il y a en actuellement plus d’un millier », dit-elle en expliquant que des « recrutements opaques » y sévissent au grès des humeurs du l’actuel directeur et dans le but de renforcer les syndicalistes soumis à sa volonté.
« Il n’a plus de syndicalisme au CROUS. Plus d’une trentaine de journaliers avaient été licenciés, récemment. Le CNTS et le SYNTUS ont fui l’affaire. C’est l’intersyndicale qui a courageusement porté le dossier pour la réinsertion de nos camarades », renseigne Mandickou DIOUF, secrétaire général du SATCOUS, en marge de cette rencontre d’informations sur les doléances du PATS.
« Quand des syndicalistes deviennent des conseillers du directeur ou du ministre de tutelle, cela devient problématique. Un vrai syndicaliste doit être le conseiller des travailleurs », a-t-il ajouté en fustigeant une gestion nébuleuse du CROUS.
« On entendait régulièrement les deux leaders syndicaux de la maison décriaient de vive voix, à travers la presse, la gestion des anciens directeurs du CROUS. Aujourd’hui, ils se débinent et plongent dans un silence de cathédrale », déplore-t-il avant d’ajouter « maintenant, ils sont roses et bien habillés par l’employeur ».
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« Le mandant des syndicalistes en question est arrivé à échéance depuis Birame Ndeck NDIAYE. Étant très proches et complices du directeur, ils refusent catégoriquement d’organiser une assemblée générale de renouvellement pour mieux profiter de leur position », a-t-elle ajouté.
« Aujourd’hui, le CROUS vit dans les moments les plus sombres de son histoire. Il est rempli de journaliers. Il y a en actuellement plus d’un millier », dit-elle en expliquant que des « recrutements opaques » y sévissent au grès des humeurs du l’actuel directeur et dans le but de renforcer les syndicalistes soumis à sa volonté.
« Il n’a plus de syndicalisme au CROUS. Plus d’une trentaine de journaliers avaient été licenciés, récemment. Le CNTS et le SYNTUS ont fui l’affaire. C’est l’intersyndicale qui a courageusement porté le dossier pour la réinsertion de nos camarades », renseigne Mandickou DIOUF, secrétaire général du SATCOUS, en marge de cette rencontre d’informations sur les doléances du PATS.
« Quand des syndicalistes deviennent des conseillers du directeur ou du ministre de tutelle, cela devient problématique. Un vrai syndicaliste doit être le conseiller des travailleurs », a-t-il ajouté en fustigeant une gestion nébuleuse du CROUS.
« On entendait régulièrement les deux leaders syndicaux de la maison décriaient de vive voix, à travers la presse, la gestion des anciens directeurs du CROUS. Aujourd’hui, ils se débinent et plongent dans un silence de cathédrale », déplore-t-il avant d’ajouter « maintenant, ils sont roses et bien habillés par l’employeur ».
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