
Après plusieurs jours de tension marqués par une grève de 72 heures renouvelables décrétée par le syndicat STESU/CNTS section CROUS, la Commission sociale des étudiants (Comsoc) a tenu à s’exprimer publiquement. Elle réagit à l’arrêt des activités sociales sur les campus, survenu à la suite de l’agression d’un agent du CROUS, événement ayant suscité une large réaction sur les réseaux sociaux et dans la presse.
Lors d’une conférence tenue ce vendredi, les représentants de la Comsoc ont déclaré regretter la politisation de l’affaire et affirmé que la structure étudiante n’a posé aucun acte visant à aggraver la situation. Selon eux, l’objectif est de préserver un climat d’apaisement et de dialogue au sein de l’espace universitaire.
« Nous assistons à une véritable campagne de diabolisation dirigée contre les délégués étudiants », a déclaré Fodé Moussa DIATTA, président de la commission, tout en appelant à la retenue et à une analyse objective des faits. La Comsoc insiste sur le fait qu’elle n’a aucun intérêt à bloquer les services sociaux dont les étudiants sont eux-mêmes les premiers bénéficiaires.
Lors d’une conférence tenue ce vendredi, les représentants de la Comsoc ont déclaré regretter la politisation de l’affaire et affirmé que la structure étudiante n’a posé aucun acte visant à aggraver la situation. Selon eux, l’objectif est de préserver un climat d’apaisement et de dialogue au sein de l’espace universitaire.
« Nous assistons à une véritable campagne de diabolisation dirigée contre les délégués étudiants », a déclaré Fodé Moussa DIATTA, président de la commission, tout en appelant à la retenue et à une analyse objective des faits. La Comsoc insiste sur le fait qu’elle n’a aucun intérêt à bloquer les services sociaux dont les étudiants sont eux-mêmes les premiers bénéficiaires.