
Dans la vieille ville de Saint-Louis, les commerçants ambulants, appelés "Beuthieuk", arpentent quotidiennement les quartiers, leurs marchandises à la main. Bravant la chaleur, ils proposent leurs produits à crédit, misant sur un versement journalier de 200 francs CFA par client.
Mais avec la conjoncture économique difficile, ce petit versement n’est pas toujours respecté. Face à ces retards de paiement, ces vendeurs adoptent une approche fondée sur la compréhension et la négociation, afin de préserver leurs relations tout en récupérant leur dû.
Certains témoignent cependant de cas plus compliqués, des clients qui disparaissent sans jamais régler leur dette, mettant encore plus à mal la précarité de leur activité.
Mais avec la conjoncture économique difficile, ce petit versement n’est pas toujours respecté. Face à ces retards de paiement, ces vendeurs adoptent une approche fondée sur la compréhension et la négociation, afin de préserver leurs relations tout en récupérant leur dû.
Certains témoignent cependant de cas plus compliqués, des clients qui disparaissent sans jamais régler leur dette, mettant encore plus à mal la précarité de leur activité.