Première pour Amadou Mansour Faye, maire de Saint-Louis par ailleurs ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement. Première mais pas en terre inconnue. Les liens entre Lille et Saint-Louis, ville jumelle, puisent à une entente vieille de trente-huit ans.
La nouvelle équipe municipale s’est donc déplacée ce lundi en toute sérénité afin de se présenter et de consolider les liens d’une coopération ancrée.
Et au passage, en profiter pour proposer de nouvelles perspectives aux élus lillois. Les axes prioritaires définis par M. Faye sont « l’amélioration du cadre de vie, l’assainissement de la ville, la gestion des déchets (sourires interdits), l’éclairage public… » Des échanges avec Veolia ou Dalkia contribueront au partage de savoirs.
« Un jumelage intense »
« C’est un premier contact », a glissé Marie-Pierre Bresson, adjointe en charge des relations internationales. « C’est un jumelage intense pour lequel la société civile lilloise est très mobilisée. Enfants, quartiers… La proximité des liens est réelle. Évoquer Saint-Louis représente vraiment quelque chose… ».
Tout ceci devrait se renforcer autour d’une réflexion axée également sur le potentiel agroalimentaire de Saint-Louis. Produits de la pêche, mais surtout transformation de produits maraîchers.
« Bonduelle et intéressé par la mise en boîte de nos haricots verts et nous sommes le deuxième producteur mondial de tomates cerise. » Un plan d’irrigation promet un développement significatif de la production agricole. Les échanges s’annoncent juteux.
La nouvelle équipe municipale s’est donc déplacée ce lundi en toute sérénité afin de se présenter et de consolider les liens d’une coopération ancrée.
Et au passage, en profiter pour proposer de nouvelles perspectives aux élus lillois. Les axes prioritaires définis par M. Faye sont « l’amélioration du cadre de vie, l’assainissement de la ville, la gestion des déchets (sourires interdits), l’éclairage public… » Des échanges avec Veolia ou Dalkia contribueront au partage de savoirs.
« Un jumelage intense »
« C’est un premier contact », a glissé Marie-Pierre Bresson, adjointe en charge des relations internationales. « C’est un jumelage intense pour lequel la société civile lilloise est très mobilisée. Enfants, quartiers… La proximité des liens est réelle. Évoquer Saint-Louis représente vraiment quelque chose… ».
Tout ceci devrait se renforcer autour d’une réflexion axée également sur le potentiel agroalimentaire de Saint-Louis. Produits de la pêche, mais surtout transformation de produits maraîchers.
« Bonduelle et intéressé par la mise en boîte de nos haricots verts et nous sommes le deuxième producteur mondial de tomates cerise. » Un plan d’irrigation promet un développement significatif de la production agricole. Les échanges s’annoncent juteux.