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Les membres du réseau national des journalistes contre les Violences Basées sur le Genre (VBG) ont pris part, jeudi, à un atelier pratique sur l’utilisation de la plateforme Web-SMS d’alerte de Veille, mise en place par le Groupe d’Etudes et de Recherches Genre et Sociétés (GESTES) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, dans le cadre de son plan d’action.
Cet outil, fruit de riches enquêtes effectuées « auprès des ménages où 1200 individus ont été interrogés, dans les milieux de formation où 300 personnes ont été interviewées et enfin auprès de 167 organisations, institutions et 140 personnes dans le milieu professionnel », permet de prévenir et de réduire la forte récurrence des VGB.
Ainsi, des bases de données sur ces injustices ont été constituées à partir d’enquêtes de terrain et partagées avec plusieurs acteurs (société civile, universitaires, décideurs politiques, journalistes). Ces données ont permis d’alimenter une plateforme WEB-SMS.
« Cet atelier s’inscrit dans la dynamique d’un projet que nous exécutons depuis 2 ans. Nous sommes rendus compte qu’il était indispensable, dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre, de travailler avec les journalistes qui sont chargés de véhiculer l’information sur l’espace publique », a expliqué Alpha Ba, chercheur au Gestes.
« Quelques soient les résultats de recherches que nous pouvons avoir, si les journalistes ne s’en approprient pas et ne participent à la diffusion, cela nous peut avoir l’effet que nous recherchons », ajouté M. Ba, doctorant à la section sociologie.
Mme Ramata Thioune, administratrice de programme au Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) a salué la pertinence de cet atelier en instant sur la nécessité de mettre en place de bonnes stratégies de prévention de ces violences faites aux femmes.
Retrouver les différentes réactions ses vidéos.
Cet outil, fruit de riches enquêtes effectuées « auprès des ménages où 1200 individus ont été interrogés, dans les milieux de formation où 300 personnes ont été interviewées et enfin auprès de 167 organisations, institutions et 140 personnes dans le milieu professionnel », permet de prévenir et de réduire la forte récurrence des VGB.
Ainsi, des bases de données sur ces injustices ont été constituées à partir d’enquêtes de terrain et partagées avec plusieurs acteurs (société civile, universitaires, décideurs politiques, journalistes). Ces données ont permis d’alimenter une plateforme WEB-SMS.
« Cet atelier s’inscrit dans la dynamique d’un projet que nous exécutons depuis 2 ans. Nous sommes rendus compte qu’il était indispensable, dans le cadre de la lutte contre les violences basées sur le genre, de travailler avec les journalistes qui sont chargés de véhiculer l’information sur l’espace publique », a expliqué Alpha Ba, chercheur au Gestes.
« Quelques soient les résultats de recherches que nous pouvons avoir, si les journalistes ne s’en approprient pas et ne participent à la diffusion, cela nous peut avoir l’effet que nous recherchons », ajouté M. Ba, doctorant à la section sociologie.
Mme Ramata Thioune, administratrice de programme au Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) a salué la pertinence de cet atelier en instant sur la nécessité de mettre en place de bonnes stratégies de prévention de ces violences faites aux femmes.
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