ACCUEIL
Mme Fatima Fall, directrice du CRDS
‘’L’ouverture de cet atelier sur la conservation des documents graphiques va jeter les bases d’une collaboration durable avec nos différents partenaires’’, a dit Mme Fatima Fall, la directrice du Centre de Recherches et Documentation du Sénégal(CRDS), en marge du lancement, ce jeudi, de ces rencontres de quatre jours.
‘’En initiant ces échanges, grâce à l’appui de nos partenaires dont l’Université de Barcelone, celle de Saint-Louis et la fondation Mon-3, nous voulons aider les différentes structures avec qui nous travaillons à mieux appréhender la question de la conservation des archives. C’est pour cela que nous avons mobilisé plusieurs experts afin d’engranger le maximum de connaissances’’, a-t-elle ajouté en précisant que les participant seront appelés à mieux s’imprégner des comportements adéquats à l’endroit des archives.
Ils seront capables de différencier les types de documents, d’identifier la natures des matériaux et les dangers encourus par ces genres de collections’’, a expliqué Mme Fall.
En soulevant les difficultés à protéger des documents dans des zones froides comme Saint-Louis, elle a appelé les acteurs à s’armer pour mieux conscientiser le public. ‘’Il faut que les bibliothécaires et archivistes soient plus attentifs au cas de vol, d’inondations, d’incendie et qu’ils soient informés des conditions nécessaires pour la conservation’’, a-t-elle dit.
Babacar Ndiaye, conservateur et ancien directeur des archives du Sénégal a salué la tenue de cet atelier tout soulevant quelques point qui, selon, lui, menacent la bonne conservation des documents d’archives.
‘’La construction des édifices publiques ne prévoit pas une salle d’archives répondant aux normes requises et les documents actuels sont produits sur des supports dégradables’’, déplore t-il.
Il pense qu’une sensibilisation doit être faite à l’ endroit des autorités afin de les amener à mieux considérer l’importance de la gestion des archives.
Cheikh Saad Bou SEYE
‘’En initiant ces échanges, grâce à l’appui de nos partenaires dont l’Université de Barcelone, celle de Saint-Louis et la fondation Mon-3, nous voulons aider les différentes structures avec qui nous travaillons à mieux appréhender la question de la conservation des archives. C’est pour cela que nous avons mobilisé plusieurs experts afin d’engranger le maximum de connaissances’’, a-t-elle ajouté en précisant que les participant seront appelés à mieux s’imprégner des comportements adéquats à l’endroit des archives.
Ils seront capables de différencier les types de documents, d’identifier la natures des matériaux et les dangers encourus par ces genres de collections’’, a expliqué Mme Fall.
En soulevant les difficultés à protéger des documents dans des zones froides comme Saint-Louis, elle a appelé les acteurs à s’armer pour mieux conscientiser le public. ‘’Il faut que les bibliothécaires et archivistes soient plus attentifs au cas de vol, d’inondations, d’incendie et qu’ils soient informés des conditions nécessaires pour la conservation’’, a-t-elle dit.
Babacar Ndiaye, conservateur et ancien directeur des archives du Sénégal a salué la tenue de cet atelier tout soulevant quelques point qui, selon, lui, menacent la bonne conservation des documents d’archives.
‘’La construction des édifices publiques ne prévoit pas une salle d’archives répondant aux normes requises et les documents actuels sont produits sur des supports dégradables’’, déplore t-il.
Il pense qu’une sensibilisation doit être faite à l’ endroit des autorités afin de les amener à mieux considérer l’importance de la gestion des archives.
Cheikh Saad Bou SEYE
