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Depuis deux jours, les populations de Saint-Louis souffrent de coupures intempestives d’eau, accompagnées par des délestages électriques frénétiques. Certains se lèvent très tôt pour remplir quelques bidons au moyen d’une pression très faible. Dans les quartiers périphériques, les habitants utilisent l'eau des puits ou du fleuve.
« Nous n’avons les moyens de nous procurer de bouteilles d’eau minérale, confie un habitant de Pikine, le SDE nous plonge dans un vrai calvaire ». La plupart de saint-louisiens dénoncent le manque d’informations qui accompagne l’indisponibilité de l’eau et pointe du doigt la direction régionale de cette entreprise.
‘’Ils pouvaient au moins nous avertir pour qu’on puisse prendre nos disposition’’, ajoute notre interlocuteur.
Ses coupures récurrentes sont souvent précédées de délestages intempestifs et saccadées qui plongent la ville dans le noir et l’insécurité. La peur et le soif provoque chez les habitants un dégoût profond. Le courant part et revient, vice-versa. La nuit, les activités humaines sont aux arrêts et les saint-louisiens, très friands de pain vont devoir se priver de ce met, le matin. Les commerces sont bloqués et des centaines de millions sont ainsi perdues. Les boulangers dans une colère noire, dénoncent également ce manque de communication et appellent la Senelec à reconsidérer ses usagers.
« Nous n’avons les moyens de nous procurer de bouteilles d’eau minérale, confie un habitant de Pikine, le SDE nous plonge dans un vrai calvaire ». La plupart de saint-louisiens dénoncent le manque d’informations qui accompagne l’indisponibilité de l’eau et pointe du doigt la direction régionale de cette entreprise.
‘’Ils pouvaient au moins nous avertir pour qu’on puisse prendre nos disposition’’, ajoute notre interlocuteur.
Ses coupures récurrentes sont souvent précédées de délestages intempestifs et saccadées qui plongent la ville dans le noir et l’insécurité. La peur et le soif provoque chez les habitants un dégoût profond. Le courant part et revient, vice-versa. La nuit, les activités humaines sont aux arrêts et les saint-louisiens, très friands de pain vont devoir se priver de ce met, le matin. Les commerces sont bloqués et des centaines de millions sont ainsi perdues. Les boulangers dans une colère noire, dénoncent également ce manque de communication et appellent la Senelec à reconsidérer ses usagers.
