
L'Association des Élèves et Étudiants Musulmans du Sénégal (AEEMS) a réagi à une vidéo virale montrant des scènes jugées inappropriées dans un établissement scolaire de Ziguinchor, lors d’un "fosco", événement normalement dédié à la célébration de l’excellence scolaire.
Mouhamed Salif Ndiaye, porte-parole du jour, a exprimé son indignation face à ce qu’il qualifie de « pratiques dégradantes ». Il déplore que des établissements censés être des lieux de formation et d’éducation deviennent aujourd’hui le théâtre de scènes obscènes, contraires aux valeurs morales et éducatives.
« Les fosco étaient à l’origine des événements qui visaient à récompenser le mérite et encourager l’excellence. Ce que nous voyons aujourd’hui est une dénaturation totale de cet esprit », a-t-il déclaré.
Face à cette situation, l’AEEMS/UGB appelle le ministère de l’Éducation nationale à prendre ses responsabilités, en engageant une révision des programmes scolaires et des curricula, pour mieux intégrer les valeurs éthiques et citoyennes dans l’enseignement.
Par ailleurs, Mouhamed Salif Ndiaye a pointé du doigt la démission de nombreux parents, qui, selon lui, ne jouent plus pleinement leur rôle d’éducateurs au sein des foyers et dans l’accompagnement scolaire de leurs enfants. Il estime qu’une telle dérive comportementale est aussi le fruit d’un vide éducatif à la maison.
Mouhamed Salif Ndiaye, porte-parole du jour, a exprimé son indignation face à ce qu’il qualifie de « pratiques dégradantes ». Il déplore que des établissements censés être des lieux de formation et d’éducation deviennent aujourd’hui le théâtre de scènes obscènes, contraires aux valeurs morales et éducatives.
« Les fosco étaient à l’origine des événements qui visaient à récompenser le mérite et encourager l’excellence. Ce que nous voyons aujourd’hui est une dénaturation totale de cet esprit », a-t-il déclaré.
Face à cette situation, l’AEEMS/UGB appelle le ministère de l’Éducation nationale à prendre ses responsabilités, en engageant une révision des programmes scolaires et des curricula, pour mieux intégrer les valeurs éthiques et citoyennes dans l’enseignement.
Par ailleurs, Mouhamed Salif Ndiaye a pointé du doigt la démission de nombreux parents, qui, selon lui, ne jouent plus pleinement leur rôle d’éducateurs au sein des foyers et dans l’accompagnement scolaire de leurs enfants. Il estime qu’une telle dérive comportementale est aussi le fruit d’un vide éducatif à la maison.