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M. Gueye qui s'exprimait à l'ouverture du SERGe, a invité les experts venus d'horizons divers, à se pencher sur la mise en place d'une association sénégalaise en sciences de gestion. Cette corporation aura la légitimité de porter aspirations des experts de ce domaine et mettra, selon lui, de mieux dialoguer avec le monde du travail et favoriser une meilleure insertion professionnelle des étudiants.
La journée "SERGe Day 2013" dont le coup d'envoi a été donné, ce matin, par le recteur Lamine Guèye, regroupe plusieurs grandes entreprises sénégalaises, engagées à soutenir les différents laboratoires coorganisateurs de cet événement international ( CRED, SERGE, FOCS).
Mansour Kama, le président de la Confédération nationale des Employeurs du Sénégal (Cnes), a apprécié les efforts d'institutionnalisation et de mutualisation entamés par les chercheurs sénégalais spécialisés en gestion en précisant que cette dynamique rencontre parfaitement l'adhésion de son organisation. « Nous apprécions cette idée de travailler main dans la main dans un cadre formalisé. Il n y a pas d'entreprises performantes sans une expertise universitaire de qualité », reconnait M. Kama.
Il a souligné les avantages de la mise en relation entre l'Université et le Patronat en estimant toutefois que cette synergie devra être rationnelle, en prenant en compte toutes les parties prenantes.
Pour le directeur du Laboratoire Finance Organisation Contrôle et Stratégie (FOCS) de l'Ucad, cette rencontre est un pas important vers la formalisation de journées de réflexion sur les organisations africaines. « Nous devons allier la réflexion à l'action et les mettre au service de la communauté. C'est la raison d'être des laboratoires que nous avons mis en place », rappelle le Professeur Bachir Wade, agrégé en Sciences de Gestion à l'Ucad.
Le recteur Lamine Gueye, président l'Assemblée de l'Université Gaston Berger espère que « les actes de ce colloque pourront servir d'aide à la décision » dans le domaine de la recherche en science de la gestion « pas très bien lotie dans nos institutions universitaires ». Il précise par ailleurs que « nous sommes conscients que les défis de l'amélioration de la qualité des enseignements (...) passeront par la production de connaissances valides, résultats de recherche effectués à partir de problématiques rencontrés dans nos contextes.
Pour le recteur Gueye, à l'heure où des remous s'intensifient autour des conclusions du rapport Doing Business qui donne au Sénégal une note insatisfaisante, des rencontres d'échanges entre économistes sénégalais peuvent offrir des pistes de sortie.
Lamine Gueye qui marque sa joie d'accueillir ce colloque intitulé « L'entreprise africaine : réalités, Identités, Représentations et Défis », affirme que l'UGB « accorde une forte attention à la recherche ». « Une part importante de notre budget est ainsi attribuée à la recherche, dans le cadre du Projet d'Appui à la Promotion du PER (PA2PER), ajoute le recteur qui se félicite de la collaboration universitaire qui accompagne l'organisation de cette journée.
C.S.SEYE
La journée "SERGe Day 2013" dont le coup d'envoi a été donné, ce matin, par le recteur Lamine Guèye, regroupe plusieurs grandes entreprises sénégalaises, engagées à soutenir les différents laboratoires coorganisateurs de cet événement international ( CRED, SERGE, FOCS).
Mansour Kama, le président de la Confédération nationale des Employeurs du Sénégal (Cnes), a apprécié les efforts d'institutionnalisation et de mutualisation entamés par les chercheurs sénégalais spécialisés en gestion en précisant que cette dynamique rencontre parfaitement l'adhésion de son organisation. « Nous apprécions cette idée de travailler main dans la main dans un cadre formalisé. Il n y a pas d'entreprises performantes sans une expertise universitaire de qualité », reconnait M. Kama.
Il a souligné les avantages de la mise en relation entre l'Université et le Patronat en estimant toutefois que cette synergie devra être rationnelle, en prenant en compte toutes les parties prenantes.
Pour le directeur du Laboratoire Finance Organisation Contrôle et Stratégie (FOCS) de l'Ucad, cette rencontre est un pas important vers la formalisation de journées de réflexion sur les organisations africaines. « Nous devons allier la réflexion à l'action et les mettre au service de la communauté. C'est la raison d'être des laboratoires que nous avons mis en place », rappelle le Professeur Bachir Wade, agrégé en Sciences de Gestion à l'Ucad.
Le recteur Lamine Gueye, président l'Assemblée de l'Université Gaston Berger espère que « les actes de ce colloque pourront servir d'aide à la décision » dans le domaine de la recherche en science de la gestion « pas très bien lotie dans nos institutions universitaires ». Il précise par ailleurs que « nous sommes conscients que les défis de l'amélioration de la qualité des enseignements (...) passeront par la production de connaissances valides, résultats de recherche effectués à partir de problématiques rencontrés dans nos contextes.
Pour le recteur Gueye, à l'heure où des remous s'intensifient autour des conclusions du rapport Doing Business qui donne au Sénégal une note insatisfaisante, des rencontres d'échanges entre économistes sénégalais peuvent offrir des pistes de sortie.
Lamine Gueye qui marque sa joie d'accueillir ce colloque intitulé « L'entreprise africaine : réalités, Identités, Représentations et Défis », affirme que l'UGB « accorde une forte attention à la recherche ». « Une part importante de notre budget est ainsi attribuée à la recherche, dans le cadre du Projet d'Appui à la Promotion du PER (PA2PER), ajoute le recteur qui se félicite de la collaboration universitaire qui accompagne l'organisation de cette journée.
C.S.SEYE
