
27 surveillants de plage ont reçu une formation de 10 jours en techniques de secours, pilotée par le ministère du Sport en collaboration avec la Fédération sénégalaise de natation représentée à Saint-Louis par sa ligue régionale.
Selon Babacar Diaw, membre de la ligue, ‘‘l’objectif de cet atelier est de diminuer considérablement les cas de noyade. Cela fait 14 ans qu’une telle formation n’a été dispensée aux surveillants de plage’’.
A Saint-Louis, la surveillance des plages démarre au mois de juillet alors qu’en mai, les jeunes investissent l’hydrobase et la plage de Sal-Sal. Depuis le mois de mai 2012, 8 cas de noyage ont été déclarés.
Par ailleurs, d’après M. Diaw, les écoliers partent en sortie de fin année avant les examens. ‘‘A ce moment là, les surveillants de plage ne sont pas sélectionnés, testés ou positionnés. C’est cela qui provoque la recrudescence des noyades’’, explique-t-il en déplorant le manque de moyens auquel ils sont confrontés. ‘‘Il nous manque certains dispositifs comme les panneaux, les drapeaux et ces matériels facilitent notre travail’’.
En outre, il a révélé que les surveillants sont recrutés de juillet à septembre alors que la fréquentation des plages débute bien avant. Aussi, ils travaillent le soir, de 15 heures à 19 heures, selon les termes du contrat qu’ils ont signé avec la commune de Saint-Louis. La baignade débute très tôt le matin.
Cette formation, appuyée par élément des Sapeurs Pompiers, est sanctionnée par un diplôme de participation.
Cheikh Saad Bou SEYE
Selon Babacar Diaw, membre de la ligue, ‘‘l’objectif de cet atelier est de diminuer considérablement les cas de noyade. Cela fait 14 ans qu’une telle formation n’a été dispensée aux surveillants de plage’’.
A Saint-Louis, la surveillance des plages démarre au mois de juillet alors qu’en mai, les jeunes investissent l’hydrobase et la plage de Sal-Sal. Depuis le mois de mai 2012, 8 cas de noyage ont été déclarés.
Par ailleurs, d’après M. Diaw, les écoliers partent en sortie de fin année avant les examens. ‘‘A ce moment là, les surveillants de plage ne sont pas sélectionnés, testés ou positionnés. C’est cela qui provoque la recrudescence des noyades’’, explique-t-il en déplorant le manque de moyens auquel ils sont confrontés. ‘‘Il nous manque certains dispositifs comme les panneaux, les drapeaux et ces matériels facilitent notre travail’’.
En outre, il a révélé que les surveillants sont recrutés de juillet à septembre alors que la fréquentation des plages débute bien avant. Aussi, ils travaillent le soir, de 15 heures à 19 heures, selon les termes du contrat qu’ils ont signé avec la commune de Saint-Louis. La baignade débute très tôt le matin.
Cette formation, appuyée par élément des Sapeurs Pompiers, est sanctionnée par un diplôme de participation.
Cheikh Saad Bou SEYE