Le réquisitoire de la Procureur Générale, Marème Diop Gueye, avait pourtant laissé pensé que le président de la Chambre administrative de la Cour suprême allait allait rétablir Ousmane Sonko dans son droit fondamental de se déclarer électeur: « L’Administration ne peut pas être juge et partie. Le ministère s’est fondé sur l’Article 29 qui concerne les inscriptions et non les radiations. La DGE a outrepassé ses prérogatives », a-t-elle affirmé.
Avant de conclure: « Il y a violation fondamentale du droit de M. Ousmane Sonko. Monsieur le président, il faut faire cesser cette violation »
Au début de son réquisitoire, la magistrate a même contesté avec des arguments juridiques la radiation de Ousmane Sonko des listes électorales : « Vous avez radié en faisant état de la Contumace à tort. L’Article 29 que vous évoquez fait référence à l’inscription sur les listes électorales et non à la RADIATION. Celle-ci est faite par une commission administrative ».
Avant de poursuivre:: « Qu’est-ce que cela vous coûte de lui remettre lés fiches de parrainage. C’est un droit fondamental qu’on a refusé à un citoyen sénégalais. N’anticipons pas sur le pouvoir du juge constitutionnel. C’est une atteinte à un droit fondamental ».
Mais à la surprise des avocats de Ousmane Sonko, le président de la Cour, Abdoulaye NDIAYE, a rejeté la requête de l’opposant sénégalais.
Avec PRESSAFRIK
Avant de conclure: « Il y a violation fondamentale du droit de M. Ousmane Sonko. Monsieur le président, il faut faire cesser cette violation »
Au début de son réquisitoire, la magistrate a même contesté avec des arguments juridiques la radiation de Ousmane Sonko des listes électorales : « Vous avez radié en faisant état de la Contumace à tort. L’Article 29 que vous évoquez fait référence à l’inscription sur les listes électorales et non à la RADIATION. Celle-ci est faite par une commission administrative ».
Avant de poursuivre:: « Qu’est-ce que cela vous coûte de lui remettre lés fiches de parrainage. C’est un droit fondamental qu’on a refusé à un citoyen sénégalais. N’anticipons pas sur le pouvoir du juge constitutionnel. C’est une atteinte à un droit fondamental ».
Mais à la surprise des avocats de Ousmane Sonko, le président de la Cour, Abdoulaye NDIAYE, a rejeté la requête de l’opposant sénégalais.
Avec PRESSAFRIK