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Le ministre de l'Économie solidaire et de la Microfinance a évoqué, vendredi, « une révolution agricole en marche dans la vallée » après avoir une visite de plusieurs casiers rizicoles de la zone. « Ce que nous avons vu est rassurant », a confié Marie Angélique MANGA.
« Rien qu’avec la vallée, le Sénégal peut atteindre l’autosuffisance en riz, n’en déplaise aux oiseaux de mauvais augure », a ajouté le ministre.
Poursuivant, elle explique qu’« il y a quelques années, le rendement à l’hectare était de 2,5 à tonnes. Aujourd’hui, les récoltes atteignent 7 tonnes avec des pics qui peuvent aller jusqu’à 9 tonnes », a relevé Mme MANGA fortement marquée par le dynamisme des femmes du WALO.
Celles-ci l’ont chaleureusement accueilli à Pont Gendarme où une exposition des productions a été faite par les groupements de promotion féminine (GPF). Les femmes ont saisi l’occasion pour exposer au ministre les maux qui gangrènent leurs activités. Auparavant, elle s’était entretenue avec les agricultrices de Ross-Béthio et de Mboudoum Barrage.
« Elles sont très actives et engagées. Nous avons compris que pour aller vers un Sénégal émergent, il faut nécessairement que nous comptions sur les femmes », a noté la journaliste qui plaide pour un meilleur accès de cette frange de la population à la terre.
Elle a par ailleurs appelé à renforcer la mécanisation à leur profit et souligné que dans le cadre d’un programme d’appui à l’entrepreneuriat féminin, d’autres financements sont accordés à ces actrices de développement.
>>> Voici la réaction du ministre …
« Rien qu’avec la vallée, le Sénégal peut atteindre l’autosuffisance en riz, n’en déplaise aux oiseaux de mauvais augure », a ajouté le ministre.
Poursuivant, elle explique qu’« il y a quelques années, le rendement à l’hectare était de 2,5 à tonnes. Aujourd’hui, les récoltes atteignent 7 tonnes avec des pics qui peuvent aller jusqu’à 9 tonnes », a relevé Mme MANGA fortement marquée par le dynamisme des femmes du WALO.
Celles-ci l’ont chaleureusement accueilli à Pont Gendarme où une exposition des productions a été faite par les groupements de promotion féminine (GPF). Les femmes ont saisi l’occasion pour exposer au ministre les maux qui gangrènent leurs activités. Auparavant, elle s’était entretenue avec les agricultrices de Ross-Béthio et de Mboudoum Barrage.
« Elles sont très actives et engagées. Nous avons compris que pour aller vers un Sénégal émergent, il faut nécessairement que nous comptions sur les femmes », a noté la journaliste qui plaide pour un meilleur accès de cette frange de la population à la terre.
Elle a par ailleurs appelé à renforcer la mécanisation à leur profit et souligné que dans le cadre d’un programme d’appui à l’entrepreneuriat féminin, d’autres financements sont accordés à ces actrices de développement.
>>> Voici la réaction du ministre …
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