À 13 heures, alors que l’information faisant part de l’interdiction de la 24e édition du Festival International de Jazz de Saint-Louis circulait dans la quasi-totalité des sites d’informations du Sénégal, l’association Saint-Louis Jazz, jointe au téléphone par notre Rédaction, soutenait n’avoir pas reçu d'arrêté préfectoral.
D’ailleurs, elle poste ce message sur sa page Facebook : « suite aux rumeurs de l'annulation de la 24e édition du festival international de Jazz de Saint-Louis, nous tenons à préciser que l'association Saint-Louis Jazz n'a pas encore reçu pour le moment une notification de l'autorité annulant le festival. Nous vous tiendrons informer ».
Quelques heures après, un autre avis est posté sur le réseau social: « nous avons reçu la notification interdisant le déroulement de la 24e édition du festival international de jazz de Saint-Louis. ( …) Des discussions ont été entamées avec les autorités, nous éperons que ces dernières vont revenir à leur décision au grand bonheur des amoureux du Jazz ».
Comment une notification aussi importante et décisive peut tomber dans les mains de la presse avant les destinataires alors que les bureaux de l’association sont logés dans le même bâtiment qui abrite l’administration territoriale ?
L'information tombe à près d’une semaine de la tenue de ce Festival qui se dit "international" alors que des réservations de vol et d’hôtels ont été faites par des touristes.
Curieusement, la note signale que « plusieurs réunions se sont tenues avec les autorités qui leur ont demandé de faire plus d’efforts dans la prise en charge de la question sécuritaire. Ils ajoutent que les 15 millions de francs réclamés ne sont pas disponibles». Mais Saint-Louis Jazz elle, dit que « des discussions ont été entamées avec les autorités », comme si aucun processus de concertation sur le volet sécuritaire entre les deux parties n’a jamais été enclenché.
La note de l’administration prouve que Saint-Louis Jazz était parfaitement au courant de la décision qu’elle aller prendre devant le refus de l’association de prioriser la sécurité des festivals.
La volonté de l’administration de protéger la ville contre d’éventuelles intrusions terroristes via cet évènement heurte le déficit économique des organisateurs.
PLUS D'INFOS:
> URGENT: interdiction formelle du Festival de jazz de Saint-Louis.
NDARINFO.COM
D’ailleurs, elle poste ce message sur sa page Facebook : « suite aux rumeurs de l'annulation de la 24e édition du festival international de Jazz de Saint-Louis, nous tenons à préciser que l'association Saint-Louis Jazz n'a pas encore reçu pour le moment une notification de l'autorité annulant le festival. Nous vous tiendrons informer ».
Quelques heures après, un autre avis est posté sur le réseau social: « nous avons reçu la notification interdisant le déroulement de la 24e édition du festival international de jazz de Saint-Louis. ( …) Des discussions ont été entamées avec les autorités, nous éperons que ces dernières vont revenir à leur décision au grand bonheur des amoureux du Jazz ».
Comment une notification aussi importante et décisive peut tomber dans les mains de la presse avant les destinataires alors que les bureaux de l’association sont logés dans le même bâtiment qui abrite l’administration territoriale ?
L'information tombe à près d’une semaine de la tenue de ce Festival qui se dit "international" alors que des réservations de vol et d’hôtels ont été faites par des touristes.
Curieusement, la note signale que « plusieurs réunions se sont tenues avec les autorités qui leur ont demandé de faire plus d’efforts dans la prise en charge de la question sécuritaire. Ils ajoutent que les 15 millions de francs réclamés ne sont pas disponibles». Mais Saint-Louis Jazz elle, dit que « des discussions ont été entamées avec les autorités », comme si aucun processus de concertation sur le volet sécuritaire entre les deux parties n’a jamais été enclenché.
La note de l’administration prouve que Saint-Louis Jazz était parfaitement au courant de la décision qu’elle aller prendre devant le refus de l’association de prioriser la sécurité des festivals.
La volonté de l’administration de protéger la ville contre d’éventuelles intrusions terroristes via cet évènement heurte le déficit économique des organisateurs.
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