La déclaration de politique générale doit être présentée dans un cadre institutionnel approprié, conformément à notre Constitution et à nos traditions républicaines, a indiqué samedi l’ancien Premier ministre, Amadou Ba.
“Faire la Déclaration de politique générale dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, devant les élus parlementaires, n’est pas seulement une obligation constitutionnelle, c’est un devoir sacré”, a notamment dit l’ancien Premier ministre dans un communiqué rendu public le même jour, notant que “la DPG doit être présentée dans un cadre institutionnel approprié, conformément à notre Constitution et à nos traditions républicaines”.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a averti qu’il s’acquittera de cette tâche devant une “assemblée constituée” du peuple sénégalais souverain, de partenaires du Sénégal et d’un jury composé d’universitaires, d’intellectuels et d’acteurs citoyens apolitiques.
“Ce serait d’ailleurs l’occasion d’un débat libre, ouvert et, à coup sûr, de qualité largement supérieure”, a-t-il estimé.
Ousmane Sonko a dit à l’Assemblée nationale qu’elle a jusqu’au 15 juillet pour “s’amender”, en réinscrivant dans son règlement intérieur l’ensemble des dispositions relatives au poste de Premier ministre au Sénégal.
Selon Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar arrivé deuxième lors de la dernière élection présidentielle, la démocratie doit reposer sur des “institutions solides et des pratiques républicaines qui doivent être scrupuleusement respectées par tous”.
“La Déclaration de Politique générale du Premier Ministre, loin d’être un simple exercice de communication, constitue un moment décisif où le gouvernement s’engage, devant le peuple, à travers ses représentants élus, à suivre un cap précis selon les orientations du Président de la République”, a encore fait valoir M. Ba.
Il indique que “l’article 55 de la Constitution impose au Premier ministre de présenter sa Déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale”.
“Il est impératif de perpétuer cette tradition républicaine, gage de transparence et de responsabilité gouvernementale”, a-t-il souligné.
APS
“Faire la Déclaration de politique générale dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, devant les élus parlementaires, n’est pas seulement une obligation constitutionnelle, c’est un devoir sacré”, a notamment dit l’ancien Premier ministre dans un communiqué rendu public le même jour, notant que “la DPG doit être présentée dans un cadre institutionnel approprié, conformément à notre Constitution et à nos traditions républicaines”.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a averti qu’il s’acquittera de cette tâche devant une “assemblée constituée” du peuple sénégalais souverain, de partenaires du Sénégal et d’un jury composé d’universitaires, d’intellectuels et d’acteurs citoyens apolitiques.
“Ce serait d’ailleurs l’occasion d’un débat libre, ouvert et, à coup sûr, de qualité largement supérieure”, a-t-il estimé.
Ousmane Sonko a dit à l’Assemblée nationale qu’elle a jusqu’au 15 juillet pour “s’amender”, en réinscrivant dans son règlement intérieur l’ensemble des dispositions relatives au poste de Premier ministre au Sénégal.
Selon Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar arrivé deuxième lors de la dernière élection présidentielle, la démocratie doit reposer sur des “institutions solides et des pratiques républicaines qui doivent être scrupuleusement respectées par tous”.
“La Déclaration de Politique générale du Premier Ministre, loin d’être un simple exercice de communication, constitue un moment décisif où le gouvernement s’engage, devant le peuple, à travers ses représentants élus, à suivre un cap précis selon les orientations du Président de la République”, a encore fait valoir M. Ba.
Il indique que “l’article 55 de la Constitution impose au Premier ministre de présenter sa Déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale”.
“Il est impératif de perpétuer cette tradition républicaine, gage de transparence et de responsabilité gouvernementale”, a-t-il souligné.
APS