Invité de l’émission Grand Jury de la Rfm, ce dimanche 25 août, Alioune Tine a passé en revue les sujets les plus brûlants de l’actualité. Le fondateur du think tank Africa Jom Center a exprimé son avis sur la situation actuelle de la presse. Pour M. Tine « la presse au Sénégal est malade ».
Cependant, M.Tine a reconnu tout de même que depuis la fin des années 90, où nous avons vu la naissance de la presse privée, « la presse a joué un rôle fondamental dans toutes les alternances politiques. Et cette dernière n’a jamais été toujours protégé ou soutenu par les différents régimes ».
« Je me rappelle les édito sur la question du monstre avec Babacar Touré du Sud. Mais ça se termine tout temps par le dialogue » s'est souvenu l’ancien président du Raddho.
D’après M. Tine, la presse est un pilier essentiel de la démocratie au Sénégal. Les entreprises de presse ne peuvent pas être considérées, dit-il, comme des entreprises normales.
Pour l’ancien président de Amnesty International, le budget de la presse internationale dépasse de très loin celle nationale. De son avis, c’est à la limite incomparable.
Alioune Tine de défendre qu’il faut mettre les moyens nécessaires pour la presse.
Le fondateur du think tank Africa Jom Center se dit entièrement d’accord avec le Président de la République. « Je souscris 5/5 avec Président Diomaye. Il faut dialoguer, il faut absolument rénover le secteur de la presse ».
Selon M. Tine « il faut un examen clinique dans le domaine de la presse parce que les choses bougent dans le secteur avec le digital, le numérique ».
En ce qui concerne le bras de fer entre le ministre du secteur et les acteurs, M. Tine a déclaré que « le débat entre le ministre et la presse ne profite à personne. Ni le gouvernement ni á la presse. ni même les souteneurs qu’on voit dans la presse ».
« Aujourd’hui tout le monde est d’accord que les entreprises de presse ne sont pas rentables. Elles ont besoin d’être soutenues et innovées. Je suis totalement d’accord avec le mot rénové du Président de la République par rapport aux nouveaux outils de communication et par rapport aussi au passé » fait-il savoir.
L’ancien leader du mouvement M23 a pensé qu’il faut essayer de dégager une « vision 21e siècle de la presse sénégalaise et l’appliquer » pour régler la situation de la presse.
Cependant, M.Tine a reconnu tout de même que depuis la fin des années 90, où nous avons vu la naissance de la presse privée, « la presse a joué un rôle fondamental dans toutes les alternances politiques. Et cette dernière n’a jamais été toujours protégé ou soutenu par les différents régimes ».
« Je me rappelle les édito sur la question du monstre avec Babacar Touré du Sud. Mais ça se termine tout temps par le dialogue » s'est souvenu l’ancien président du Raddho.
D’après M. Tine, la presse est un pilier essentiel de la démocratie au Sénégal. Les entreprises de presse ne peuvent pas être considérées, dit-il, comme des entreprises normales.
Pour l’ancien président de Amnesty International, le budget de la presse internationale dépasse de très loin celle nationale. De son avis, c’est à la limite incomparable.
Alioune Tine de défendre qu’il faut mettre les moyens nécessaires pour la presse.
Le fondateur du think tank Africa Jom Center se dit entièrement d’accord avec le Président de la République. « Je souscris 5/5 avec Président Diomaye. Il faut dialoguer, il faut absolument rénover le secteur de la presse ».
Selon M. Tine « il faut un examen clinique dans le domaine de la presse parce que les choses bougent dans le secteur avec le digital, le numérique ».
En ce qui concerne le bras de fer entre le ministre du secteur et les acteurs, M. Tine a déclaré que « le débat entre le ministre et la presse ne profite à personne. Ni le gouvernement ni á la presse. ni même les souteneurs qu’on voit dans la presse ».
« Aujourd’hui tout le monde est d’accord que les entreprises de presse ne sont pas rentables. Elles ont besoin d’être soutenues et innovées. Je suis totalement d’accord avec le mot rénové du Président de la République par rapport aux nouveaux outils de communication et par rapport aussi au passé » fait-il savoir.
L’ancien leader du mouvement M23 a pensé qu’il faut essayer de dégager une « vision 21e siècle de la presse sénégalaise et l’appliquer » pour régler la situation de la presse.