Le football sénégalais pleure l’un de ses fils. Ce samedi, lors d’un match de Ligue 1 entre l’US Ouakam et l’OSLO, le capitaine ouakamois, Fadiouf Ndiaye, s’est effondré en plein match avant de succomber à un malaise foudroyant.
Le drame s’est produit alors que l’US Ouakam disputait une rencontre cruciale du championnat national. Selon des témoins présents au stade, Fadiouf Ndiaye s’est écroulé soudainement sur la pelouse, provoquant une onde de choc parmi les joueurs, les encadrements et les supporters. L’intervention rapide des secours sur le terrain n’a malheureusement pas permis de le sauver. Le joueur a été transporté d’urgence vers un centre de santé, où son décès a été confirmé peu après.
Fadiouf Ndiaye n’était pas seulement un joueur clé de l’US Ouakam. Il en était l’âme. Capitaine respecté, figure de vestiaire et modèle de discipline, son absence laissera un vide immense, non seulement dans son club, mais aussi dans le paysage footballistique sénégalais.
« Fadiouf, c’était un guerrier sur le terrain, mais aussi un grand frère pour beaucoup en dehors. Il portait notre club dans le cœur », confie un coéquipier visiblement bouleversé.
Ironie tragique du destin, l’US Ouakam a remporté ce match 2-0. Une victoire éclipsée par le drame survenu, et qui restera à jamais marquée du sceau du deuil. Les coéquipiers de Fadiouf, certains en larmes à la fin du match, ont dédié ce succès à leur capitaine disparu.
La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a rapidement publié un communiqué exprimant sa « profonde tristesse » et saluant la mémoire d’un joueur exemplaire. Un hommage officiel est en préparation, et une minute de silence devrait être observée lors des prochaines rencontres du championnat.
Ce drame pose une fois de plus la question de la prise en charge médicale en temps réel sur les terrains africains. Même si les secours ont réagi rapidement, la disponibilité de défibrillateurs ou d’équipements de réanimation reste un enjeu de santé publique dans de nombreux stades du continent.
Fadiouf Ndiaye rejoint tragiquement la liste des sportifs disparus en pleine activité, rappelant que, derrière le spectacle, le football reste un sport d’intensité où la vigilance médicale est essentielle.
Avec LESOLEIL
Le drame s’est produit alors que l’US Ouakam disputait une rencontre cruciale du championnat national. Selon des témoins présents au stade, Fadiouf Ndiaye s’est écroulé soudainement sur la pelouse, provoquant une onde de choc parmi les joueurs, les encadrements et les supporters. L’intervention rapide des secours sur le terrain n’a malheureusement pas permis de le sauver. Le joueur a été transporté d’urgence vers un centre de santé, où son décès a été confirmé peu après.
Fadiouf Ndiaye n’était pas seulement un joueur clé de l’US Ouakam. Il en était l’âme. Capitaine respecté, figure de vestiaire et modèle de discipline, son absence laissera un vide immense, non seulement dans son club, mais aussi dans le paysage footballistique sénégalais.
« Fadiouf, c’était un guerrier sur le terrain, mais aussi un grand frère pour beaucoup en dehors. Il portait notre club dans le cœur », confie un coéquipier visiblement bouleversé.
Ironie tragique du destin, l’US Ouakam a remporté ce match 2-0. Une victoire éclipsée par le drame survenu, et qui restera à jamais marquée du sceau du deuil. Les coéquipiers de Fadiouf, certains en larmes à la fin du match, ont dédié ce succès à leur capitaine disparu.
La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a rapidement publié un communiqué exprimant sa « profonde tristesse » et saluant la mémoire d’un joueur exemplaire. Un hommage officiel est en préparation, et une minute de silence devrait être observée lors des prochaines rencontres du championnat.
Ce drame pose une fois de plus la question de la prise en charge médicale en temps réel sur les terrains africains. Même si les secours ont réagi rapidement, la disponibilité de défibrillateurs ou d’équipements de réanimation reste un enjeu de santé publique dans de nombreux stades du continent.
Fadiouf Ndiaye rejoint tragiquement la liste des sportifs disparus en pleine activité, rappelant que, derrière le spectacle, le football reste un sport d’intensité où la vigilance médicale est essentielle.
Avec LESOLEIL