À Saint-Louis, la pêche, principale activité économique, traverse ses moments les plus difficiles.
Depuis plus d’un mois, le poisson se fait de plus en plus rare, bloquant ainsi toute la chaîne de valeur.
Plusieurs pêcheurs sont actuellement au chômage à cause de l’inaccessibilité des grandes zones de pêche.
Pendant ce temps, d’autres ont préféré rester en Mauritanie pour poursuivre leur activité. Le quai de pêche de Gokhou Mbac est inerte, et celui de Guet-Ndar est moins dynamique que d’habitude.
Sur place, les camions frigorifiques sont vides et fermés, et les travailleurs sombrent dans une oisiveté inquiétante.
Cette situation plonge les mareyeurs et autres acteurs du secteur halieutique dans une précarité économique très préoccupante.
Depuis plus d’un mois, le poisson se fait de plus en plus rare, bloquant ainsi toute la chaîne de valeur.
Plusieurs pêcheurs sont actuellement au chômage à cause de l’inaccessibilité des grandes zones de pêche.
Pendant ce temps, d’autres ont préféré rester en Mauritanie pour poursuivre leur activité. Le quai de pêche de Gokhou Mbac est inerte, et celui de Guet-Ndar est moins dynamique que d’habitude.
Sur place, les camions frigorifiques sont vides et fermés, et les travailleurs sombrent dans une oisiveté inquiétante.
Cette situation plonge les mareyeurs et autres acteurs du secteur halieutique dans une précarité économique très préoccupante.