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Tout est parti de la brèche creusée dans la Langue de Barbarie en face de ce village, en 2003. C’est à la suite de fortes pluies qui firent monter le niveau des eaux du fleuve Sénégal qui atteignait des niveaux dangereux que l’Etat décida de trouver une solution d’urgence pour sauver l’ile de Saint-Louis.
Un canal fut alors creusé au milieu de la Langue de Barbarie en vue de créer une issue pour le fleuve et de lui permettre de regagner l’Atlantique avant sa sortie naturelle à l’embouchure de Gandiole.
Une brèche de 3 à 4 mètres au milieu de la Langue de Barbarie fut convenue, assez loin du centre-ville de Saint-Louis pour éviter des conséquences fâcheuses.
Des bulldozers marocains firent le travail. La cérémonie fut télévisée et tous applaudirent cette action positive du gouvernement entreprise pour protéger la ville de Saint-Louis contre les inondations.
Les conséquences immédiates ont été désastreuses à Doune Baba Dièye qui, après 11 années d’agonie, souffle son dernier son dernier cri. Ameth Sene Diagne, le chef de village est le dernier à quitté le village, jeudi.
Cheikh SEYE
Un canal fut alors creusé au milieu de la Langue de Barbarie en vue de créer une issue pour le fleuve et de lui permettre de regagner l’Atlantique avant sa sortie naturelle à l’embouchure de Gandiole.
Une brèche de 3 à 4 mètres au milieu de la Langue de Barbarie fut convenue, assez loin du centre-ville de Saint-Louis pour éviter des conséquences fâcheuses.
Des bulldozers marocains firent le travail. La cérémonie fut télévisée et tous applaudirent cette action positive du gouvernement entreprise pour protéger la ville de Saint-Louis contre les inondations.
Les conséquences immédiates ont été désastreuses à Doune Baba Dièye qui, après 11 années d’agonie, souffle son dernier son dernier cri. Ameth Sene Diagne, le chef de village est le dernier à quitté le village, jeudi.
Cheikh SEYE
