Les unités hydrauliques au nombre de quatre dans la région nord « sont confrontées aux changements climatiques, à des problèmes de gestion de l’eau et des terres, à la pollution, aux végétaux aquatiques envahissants et aux inondations », explique M. Wade qui pense que cette rencontre permettra d’élaborer un plan d’action pertinent pour une meilleure préservation de cette biodiversité.
Les parties prenantes ont été sensibilisées sur les menaces qui pèsent sur les unités hydrauliques pour préparer l’installation d’un comité zonal de suivi du processus.
Wetlands a qui, la direction des parcs nationaux du Sénégal a confié la mission de conduire le processus d’élaboration de la politique nationale de gestions de ces zones, devra produire une cartographie exhaustive de ces espaces riches en diverses ressources.
Cette démarche entre dans le cadre de l’application de la convention de Ramsar (Convention relative aux zones humides d’importance internationale particulièrement comme habitats des oiseaux d’eau, signée en Iran".
Le Sénégal fut le premier pays de l’Afrique de l’ouest à adhérer cette dynamique. Il est devenu Partie contractante en 1977 et a désigné pour la liste des zones humides d’importance internationale deux sites sénégalais: le Parc national d’oiseaux du Djoudj (dont la gestion est confiée à la Direction des Parcs nationaux) et le bassin de la Réserve spéciale de faune du N’diaël (gérée par la Direction des Eaux et Forêts).
Par la suite le Sénégal a nommé deux zones humides supplémentaires pour la liste: le Parc national du Delta du Saloum et la Réserve spéciale de faune de Gueumbeul. Ces deux derniers sites sont gérés par la Direction des Parcs nationaux du Sénégal.
« Notre ambition est de regrouper les acteurs et approfondir la caractérisation des zones humides, lister ces espaces. Lister ces espaces, connaitre ses vocations, l’utilisation qui en faite par les populations et les contraintes auxquelles ils sont confrontés », déclare Abdou Salam Kane, point focal de la convention Ramsar.
« Nous voulons dégager des solutions alternatives qui nous permettrons d’élaborer un plan d’action qui sera piloté par le comité zonal Ramsar », ajoute M. Kane.
Wetlands international (de l'anglais, littéralement, zone humide international) est une organisation à but non lucratif qui s'intéresse à la protection des zones humides et la gestion durable. Elle a été fondée au Royaume-Uni 1954 sous le nom de International Wildfowl Inquiry, avec pour objectif la protection des oiseaux d'eau. Plus tard, le nom est transformé en International Waterfowl & Wetlands Research Bureau (IWRB). Le centre d'action s'est également élargi, et outre la protection de la faune inféodée aux zones humides, l'organisation s'occupe également de la protection de celles-ci.
CSSEYE
Les parties prenantes ont été sensibilisées sur les menaces qui pèsent sur les unités hydrauliques pour préparer l’installation d’un comité zonal de suivi du processus.
Wetlands a qui, la direction des parcs nationaux du Sénégal a confié la mission de conduire le processus d’élaboration de la politique nationale de gestions de ces zones, devra produire une cartographie exhaustive de ces espaces riches en diverses ressources.
Cette démarche entre dans le cadre de l’application de la convention de Ramsar (Convention relative aux zones humides d’importance internationale particulièrement comme habitats des oiseaux d’eau, signée en Iran".
Le Sénégal fut le premier pays de l’Afrique de l’ouest à adhérer cette dynamique. Il est devenu Partie contractante en 1977 et a désigné pour la liste des zones humides d’importance internationale deux sites sénégalais: le Parc national d’oiseaux du Djoudj (dont la gestion est confiée à la Direction des Parcs nationaux) et le bassin de la Réserve spéciale de faune du N’diaël (gérée par la Direction des Eaux et Forêts).
Par la suite le Sénégal a nommé deux zones humides supplémentaires pour la liste: le Parc national du Delta du Saloum et la Réserve spéciale de faune de Gueumbeul. Ces deux derniers sites sont gérés par la Direction des Parcs nationaux du Sénégal.
« Notre ambition est de regrouper les acteurs et approfondir la caractérisation des zones humides, lister ces espaces. Lister ces espaces, connaitre ses vocations, l’utilisation qui en faite par les populations et les contraintes auxquelles ils sont confrontés », déclare Abdou Salam Kane, point focal de la convention Ramsar.
« Nous voulons dégager des solutions alternatives qui nous permettrons d’élaborer un plan d’action qui sera piloté par le comité zonal Ramsar », ajoute M. Kane.
Wetlands international (de l'anglais, littéralement, zone humide international) est une organisation à but non lucratif qui s'intéresse à la protection des zones humides et la gestion durable. Elle a été fondée au Royaume-Uni 1954 sous le nom de International Wildfowl Inquiry, avec pour objectif la protection des oiseaux d'eau. Plus tard, le nom est transformé en International Waterfowl & Wetlands Research Bureau (IWRB). Le centre d'action s'est également élargi, et outre la protection de la faune inféodée aux zones humides, l'organisation s'occupe également de la protection de celles-ci.
CSSEYE