Le non-respect des engagements pris par l’État en faveur de l’enseignement technique et professionnel suscite la colère des professeurs qui, à la suite de 48 heures de grève, décident de passer à la vitesse supérieure.
Face à la face locale, Amar KANE, leur secrétaire général, a fustigé le désengagement du Gouvernement sur ses promesses et les conséquences désastreuses de cette attitude sur l’avenir du secteur.
M. KANE signale, notamment, que ni le paiement à temps des salaires contractuels, des indemnités de déplacement aux examens, de la formation diplômante des professeurs n’ont été respectés.
« C’est la preuve du manque de considération de la part de la tutelle », a-t-il dit en indiquant que cette situation plonge les enseignants dans un état de découragement profond. « Il est temps que nous prenions notre destin en main et de réagir face à ce gouvernement qui fait du dilatoire », estime le SG.
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Face à la face locale, Amar KANE, leur secrétaire général, a fustigé le désengagement du Gouvernement sur ses promesses et les conséquences désastreuses de cette attitude sur l’avenir du secteur.
M. KANE signale, notamment, que ni le paiement à temps des salaires contractuels, des indemnités de déplacement aux examens, de la formation diplômante des professeurs n’ont été respectés.
« C’est la preuve du manque de considération de la part de la tutelle », a-t-il dit en indiquant que cette situation plonge les enseignants dans un état de découragement profond. « Il est temps que nous prenions notre destin en main et de réagir face à ce gouvernement qui fait du dilatoire », estime le SG.
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