« Trois grosses pirogues ont été arraisonnées sans raison par les Mauritaniens et de petites embarcations, aujourd’hui. Ce sont des millions de FCFA perdus. Nous n’en pouvons plus », a-t-il ajouté.
« S’ils (garde-côtes mauritaniens) vous arrêtent, ils vous dépouillent de tous vos biens. Mêmes, les téléphones portables et les bâches de protection sont emportés. Vous rentrez avec vos habits », a-t-il ajouté.
« Nous souffrons alors que l’État, garant de notre sécurité, reste silencieux. La brèche nous tue. La plupart des femmes de Guet-Ndar n’ont plus de maris à cause des accidents meurtriers sur le canal », a-t-il crié.



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