
’Université Gaston Berger (UGB) a abrité ce jeudi l’atelier de lancement du projet de recherche Gouvernance, Injustices et Accès au foncier (GIA), centré sur la justice foncière au Sénégal. Financé par l’IRD pour une durée de trois ans, ce projet réunit plusieurs institutions partenaires : UGB, UCAD, ENSA, des chercheurs de l’IRD et du think tank IPAR.
Le professeur Sambou Ndiaye, coordinateur du projet, a précisé que cette initiative vise à analyser les processus de dépossession foncière observés dans différentes régions du pays, souvent liés à l’agrobusiness, l’extractivisme, les grands projets d’aménagement ou les relocalisations. Des cas comme le Lac Rose ou Bambilor sont au cœur des préoccupations.
« Nous voulons interroger les processus de dépossession sans forcément postuler une injustice. Il s’agit d’analyser les différentes formes de justice : distributive, procédurale, épistémique et reconnaissance des droits », a expliqué le professeur Ndiaye.
Le projet mobilisera 10 chercheurs et 6 doctorants à travers plusieurs études de cas sur le territoire sénégalais. Il entend éclairer les politiques publiques et alimenter la réforme foncière en cours, tout en mettant l’accent sur l’intégration des savoirs locaux et la co-construction scientifique avec les chercheurs sénégalais et internationaux.
Ce travail s’inscrit dans une dynamique de recherche partenariale entre le Sénégal et la France, fondée sur plus de trente ans de collaboration académique sur les enjeux fonciers en Afrique de l’Ouest.
Le professeur Sambou Ndiaye, coordinateur du projet, a précisé que cette initiative vise à analyser les processus de dépossession foncière observés dans différentes régions du pays, souvent liés à l’agrobusiness, l’extractivisme, les grands projets d’aménagement ou les relocalisations. Des cas comme le Lac Rose ou Bambilor sont au cœur des préoccupations.
« Nous voulons interroger les processus de dépossession sans forcément postuler une injustice. Il s’agit d’analyser les différentes formes de justice : distributive, procédurale, épistémique et reconnaissance des droits », a expliqué le professeur Ndiaye.
Le projet mobilisera 10 chercheurs et 6 doctorants à travers plusieurs études de cas sur le territoire sénégalais. Il entend éclairer les politiques publiques et alimenter la réforme foncière en cours, tout en mettant l’accent sur l’intégration des savoirs locaux et la co-construction scientifique avec les chercheurs sénégalais et internationaux.
Ce travail s’inscrit dans une dynamique de recherche partenariale entre le Sénégal et la France, fondée sur plus de trente ans de collaboration académique sur les enjeux fonciers en Afrique de l’Ouest.