
Sur la Langue de Barbarie, la Tabaski ne s’arrête pas à l’abattage du mouton ni aux retrouvailles familiales. Elle se prolonge dans les rues, portée par l’énergie débordante des enfants âgés de 5 à 15 ans, qui perpétuent une tradition bien vivante dans les quatre quartiers de cette zone : Guet-Ndar, Ndar Toute, Hydrobase et Goxu Mbacc.
Chaque matin et chaque soir, ces jeunes enfilent fièrement leurs maillots personnalisés, souvent floqués de surnoms de joueurs ou de groupes d’amis, avant de partir en quête d’un terrain de fortune où disputer un match de football. Ces rencontres sont bien plus qu’un simple jeu : elles sont organisées avec soin, et font partie intégrante de la culture populaire locale.
Dans les ruelles étroites, pleines de monde, l’ambiance est électrique. On y entend des chants, des acclamations, parfois même des danses improvisées. Les enfants courent, dribblent, et s’encouragent dans une atmosphère de joie collective, faisant vibrer tout le quartier.
Entre ferveur populaire et passion du jeu, les enfants de la Langue de Barbarie offrent chaque année, après la Tabaski, un spectacle unique, fait de fraternité, de créativité et de tradition.
Chaque matin et chaque soir, ces jeunes enfilent fièrement leurs maillots personnalisés, souvent floqués de surnoms de joueurs ou de groupes d’amis, avant de partir en quête d’un terrain de fortune où disputer un match de football. Ces rencontres sont bien plus qu’un simple jeu : elles sont organisées avec soin, et font partie intégrante de la culture populaire locale.
Dans les ruelles étroites, pleines de monde, l’ambiance est électrique. On y entend des chants, des acclamations, parfois même des danses improvisées. Les enfants courent, dribblent, et s’encouragent dans une atmosphère de joie collective, faisant vibrer tout le quartier.
Entre ferveur populaire et passion du jeu, les enfants de la Langue de Barbarie offrent chaque année, après la Tabaski, un spectacle unique, fait de fraternité, de créativité et de tradition.