
Le professeur Mohammed Abib KÉBÉ a présenté samedi son ouvrage intitulé « Un modèle démocratique sénégalais, ou la voie sénégalaise de la politique », au cours d’une rencontre à laquelle des sommités intellectuelles, parents et proches de l'écrivain ont pris part.
Dans son ouvrage, il y défend l’idée d’une démocratie fondée sur les réalités culturelles, sociales et religieuses du Sénégal, en rupture avec les modèles occidentaux.
« Il n’est pas concevable, pour un pays souverain, de fonctionner avec des valeurs démocratiques étrangères », a-t-il affirmé devant ses anciens collègues du lycée des jeunes filles Amet FALL.
« Ce qui se passe au Sénégal, comme ailleurs en Afrique, c’est que les Africains, au lieu de penser leur propre vie politique, ont adopté le modèle français de façon systématique et servile, sans réflexion ni adaptation », a regretté le professeur KÉBÉ.
L'auteur a exprimé son souhait de voir émerger une démocratie sénégalaise qui réconcilie religieux et politique, et a plaidé pour une révision des fondements constitutionnels.
« Je veux que cette tare congénitale soit corrigée. La Constitution, comme celle des États-Unis, devrait être fondée en Dieu », a-t-il déclaré, critiquant le modèle français, qu’il qualifie d’athée, impie et intolérant à l’égard du religieux.
Dans son ouvrage, il y défend l’idée d’une démocratie fondée sur les réalités culturelles, sociales et religieuses du Sénégal, en rupture avec les modèles occidentaux.
« Il n’est pas concevable, pour un pays souverain, de fonctionner avec des valeurs démocratiques étrangères », a-t-il affirmé devant ses anciens collègues du lycée des jeunes filles Amet FALL.
« Ce qui se passe au Sénégal, comme ailleurs en Afrique, c’est que les Africains, au lieu de penser leur propre vie politique, ont adopté le modèle français de façon systématique et servile, sans réflexion ni adaptation », a regretté le professeur KÉBÉ.
L'auteur a exprimé son souhait de voir émerger une démocratie sénégalaise qui réconcilie religieux et politique, et a plaidé pour une révision des fondements constitutionnels.
« Je veux que cette tare congénitale soit corrigée. La Constitution, comme celle des États-Unis, devrait être fondée en Dieu », a-t-il déclaré, critiquant le modèle français, qu’il qualifie d’athée, impie et intolérant à l’égard du religieux.