« La plupart des étudiants proviennent de milieux défavorisés. S’ils sont privés de leurs bourses, ils n’auront plus de quoi se nourrir. Ce sont des dommages collatéraux inacceptables qui vont se produire au sein du campus pédagogique », a déploré, vendredi, Jeanne GOMIS, présidente de séance de la CESL.
« Des étudiants de l’UGB risquent de perdre leurs bourses. Depuis plus d’une année, certains n’ont pas reçu leurs allocations de la part de la direction compétente. Des étudiants en master de l’UFR des Sciences Juridiques et Politiques sont dans ce triste état », a-t-elle révélé.
Mlle GOMIS se désole en outre du non-respect des instructions fermes données par le Président de la République. Celles-ci ordonnaient le paiement des bourses, au plus tard le 05 de chaque mois.
« Cet engagement a été d’ailleurs réitéré, cette semaine, lors du conseil des ministres », a ajouté la présidente de séance.
Pour elle, l’indisponibilité des cartes GAB et du WIFI au sein de l’UGB, les différends permanents entre le SAES et le Rectorat ne concourent guère à instaurer un climat pédagogique apaisant au profit des étudiants. Ces carences ont fini d’installer, avec le retard des bourses, une « situation chaotique » au sein de l’UGB, a-t-elle dit.
La CESL menace de se manifester, à l’image de ses camarades de DAKAR, « si le paiement des bourses n’est pas effectif ».
NDARINFO.COM
« Des étudiants de l’UGB risquent de perdre leurs bourses. Depuis plus d’une année, certains n’ont pas reçu leurs allocations de la part de la direction compétente. Des étudiants en master de l’UFR des Sciences Juridiques et Politiques sont dans ce triste état », a-t-elle révélé.
Mlle GOMIS se désole en outre du non-respect des instructions fermes données par le Président de la République. Celles-ci ordonnaient le paiement des bourses, au plus tard le 05 de chaque mois.
« Cet engagement a été d’ailleurs réitéré, cette semaine, lors du conseil des ministres », a ajouté la présidente de séance.
Pour elle, l’indisponibilité des cartes GAB et du WIFI au sein de l’UGB, les différends permanents entre le SAES et le Rectorat ne concourent guère à instaurer un climat pédagogique apaisant au profit des étudiants. Ces carences ont fini d’installer, avec le retard des bourses, une « situation chaotique » au sein de l’UGB, a-t-elle dit.
La CESL menace de se manifester, à l’image de ses camarades de DAKAR, « si le paiement des bourses n’est pas effectif ».
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