
Baydallaye KANE, recteur l'Université Gaston Berger
La Coordination SAES-UGB « exprime toute son indignation face à l’humiliation récurrente que les autorités ministérielles et rectorales font subir aux personnels universitaires et exige le paiement immédiat des salaires du mois de novembre 2015 » et qualifie la situation de « catastrophique ».
« L’Assemblée de l’Université sous la dictée du Recteur a adopté un budget qui couvre à peine sept (07) mois de salaires. À cela s’ajoutent une instabilité et un flou dans la gouvernance de l’université par les choix inopportuns et inefficaces d’un Recteur qui a du mal à entrer en fonction », note le document.
En a croire les syndicalistes, ces contraintes génèrent « l’impossibilité pour les UFR et les instituts d’exécuter leurs budgets », « l’insolvabilité de l’université auprès des structures sanitaires et des fournisseurs », « le non-paiement des heures complémentaires de l’année universitaire 2014-2015 » et « la suspension des crédits alloués à la recherche ».
En exigeant, enfin, de l’État, « la mise à disposition d’un budget conséquent » et « l’assainissement de la gouvernance financière de l’université », par le Recteur Baydalaye, Le SAES dit dégager « toute responsabilité sur les perturbations pouvant aggraver les dysfonctionnements qui frappent déjà l’UGB et les autres universités sénégalaises ».
NDARINFO.COM
« L’Assemblée de l’Université sous la dictée du Recteur a adopté un budget qui couvre à peine sept (07) mois de salaires. À cela s’ajoutent une instabilité et un flou dans la gouvernance de l’université par les choix inopportuns et inefficaces d’un Recteur qui a du mal à entrer en fonction », note le document.
En a croire les syndicalistes, ces contraintes génèrent « l’impossibilité pour les UFR et les instituts d’exécuter leurs budgets », « l’insolvabilité de l’université auprès des structures sanitaires et des fournisseurs », « le non-paiement des heures complémentaires de l’année universitaire 2014-2015 » et « la suspension des crédits alloués à la recherche ».
En exigeant, enfin, de l’État, « la mise à disposition d’un budget conséquent » et « l’assainissement de la gouvernance financière de l’université », par le Recteur Baydalaye, Le SAES dit dégager « toute responsabilité sur les perturbations pouvant aggraver les dysfonctionnements qui frappent déjà l’UGB et les autres universités sénégalaises ».
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